Bonjour,
Je souhaite emprunter un certain montant Y pour réaliser un investissement locatif en VEFA que je souhaite assurer en décès ptia et arrêt de travail.
La banque retenue est ok sur ce montant au regard de ma capacité d'endettement. Or lors de la réception de mon dossier de prêt, je constate qu'on me demande de remplir un questionnaire de santé détaillé. Pourtant jusqu'au montant Y+1 euros, ce questionnaire n'était pas demandé.
La banque prétend que l'assureur exige qu'on lui remette ce questionnaire au motif que j'ai encore un reliquat de crédit immobilier en cours qui dépasse de plus de 10 000 euros le montant Y?
Cette pratique me semble douteuse, étant donné que les prêts en question sont indépendants et que le premier petit prêt sera terminé au moment de l'amortissement du second. Qu'en pensez vous?.
Est il plus judicieux , disposant de fonds propres, de minorer le montant de mon emprunt pour rester dans la volumétrie de Y et échapper à un questionnaire que je trouve un peu trop indiscret et tordu qui oblige à répondre au moins à une question: ex avez vous eu au moins une analyse de sang depuis cinq ans (avec le risque de se voir octroyer un refus même pour quelqu'un en bonne santé). Je n'ai rien à cacher mais je trouve le procédé vraiment limite.
Existe il une réglementation en la matière? Est ce que l'assureur a l'obligation de communiquer à l'assuré les modalités de computation de seuil enclenchant la nécessité de remplir un questionnaire médical détaillé.
Merci de votre aide
Newyork
Je souhaite emprunter un certain montant Y pour réaliser un investissement locatif en VEFA que je souhaite assurer en décès ptia et arrêt de travail.
La banque retenue est ok sur ce montant au regard de ma capacité d'endettement. Or lors de la réception de mon dossier de prêt, je constate qu'on me demande de remplir un questionnaire de santé détaillé. Pourtant jusqu'au montant Y+1 euros, ce questionnaire n'était pas demandé.
La banque prétend que l'assureur exige qu'on lui remette ce questionnaire au motif que j'ai encore un reliquat de crédit immobilier en cours qui dépasse de plus de 10 000 euros le montant Y?
Cette pratique me semble douteuse, étant donné que les prêts en question sont indépendants et que le premier petit prêt sera terminé au moment de l'amortissement du second. Qu'en pensez vous?.
Est il plus judicieux , disposant de fonds propres, de minorer le montant de mon emprunt pour rester dans la volumétrie de Y et échapper à un questionnaire que je trouve un peu trop indiscret et tordu qui oblige à répondre au moins à une question: ex avez vous eu au moins une analyse de sang depuis cinq ans (avec le risque de se voir octroyer un refus même pour quelqu'un en bonne santé). Je n'ai rien à cacher mais je trouve le procédé vraiment limite.
Existe il une réglementation en la matière? Est ce que l'assureur a l'obligation de communiquer à l'assuré les modalités de computation de seuil enclenchant la nécessité de remplir un questionnaire médical détaillé.
Merci de votre aide
Newyork