Jeune_padawan
Top contributeur
Bonjour,
Pour plusieurs raisons : ça coute cher, c'est long à organiser et ça intéresse peu de monde.
Pour commencer il faut savoir que les obligations de l’État français sont émises sous forme d'enchères via la technique de l’adjudication « au prix demandé » (dite « à la hollandaise »).
https://www.aft.gouv.fr/fr/techniques-demissions
Le marché de la dette française est très demandé et il y a nettement plus de demande que d'offre. Ensuite on parle de dizaines de milliards d'€ émis à chaque enchère.
A votre avis quel est le plus simple entre émettre sur le marché primaire 10 milliards d'€ à de grands groupes bancaires ou d'assurances ou bien à 67 millions de particuliers ?
Moins de paperasse à remplir, moins de coûts, plus simple pour les opérations de capitaux. Et avec les banques et assurances ça râle pas.
Si vous tenez à financer l'Etat il reste au choix : les impôts, les taxes, les prélèvements sociaux ou bien encore acheter de l'OAT sur le marché secondaire.
Je me suis toujours demandé pourquoi l'État ne faisait pas appel au grand public pour ce type de produit...
Pour plusieurs raisons : ça coute cher, c'est long à organiser et ça intéresse peu de monde.
Pour commencer il faut savoir que les obligations de l’État français sont émises sous forme d'enchères via la technique de l’adjudication « au prix demandé » (dite « à la hollandaise »).
https://www.aft.gouv.fr/fr/techniques-demissions
Le marché de la dette française est très demandé et il y a nettement plus de demande que d'offre. Ensuite on parle de dizaines de milliards d'€ émis à chaque enchère.
A votre avis quel est le plus simple entre émettre sur le marché primaire 10 milliards d'€ à de grands groupes bancaires ou d'assurances ou bien à 67 millions de particuliers ?
Moins de paperasse à remplir, moins de coûts, plus simple pour les opérations de capitaux. Et avec les banques et assurances ça râle pas.
Si vous tenez à financer l'Etat il reste au choix : les impôts, les taxes, les prélèvements sociaux ou bien encore acheter de l'OAT sur le marché secondaire.