Bonjour,
Merci tout d'abord de votre patience si vous prenez le temps de lire ce LONGmessage
Nous sortons d’une négociation avec le service relais du CFF qui nous laisse dubitatifs.
En effet, nous avons été contraints de faire reprendre notre prêt initial car nous n’avions pas les fonds nécessaires pour rembourser notre prêt relais. Victimes, comme beaucoup de gens, d’une surévaluation de notre bien immobilier (par les agences mais également par l’expert de la banque) et des conséquences de la crise immobilière qui a suivie, nous avons dû, après un an de prêt relais coûteux, vendre notre pavillon 80 000 euros de moins que la somme escomptée au départ.
Ainsi, nous sommes aujourd’hui contraints de contracter un crédit de 270 000 euros au lieu des 200 000 euros initiaux. Nous avons été mis en relation avec un conseiller du service relais mis en place pour les personnes dans ce cas et avons été très surpris, dans un premier temps des propositions qui nous ont été faites. On nous a proposé de « bénéficier » d’un taux d’endettement de 40% au lieu des 33% prévus au départ et d’un crédit dont l’évolution permettait de nous faire des mensualités évolutives donc pas trop lourdes au début du prêt (et un autre que je laisse entre parenthèse car les mensualités nous endettaient au-delà du seuil).
Après plusieurs recommandés nous avons finalement obtenu des propositions plus que raisonnables, puisque aux vues de notre profil de clients sérieux et de notre ancienneté de trois ans sans aucun impayé notre conseillé a fait des simulations sur 30 ans (car lui n’avait pas la possibilité d’allonger davantage la durée comme nous le demandions dans nos courriers) avec une propositions de taux à 3% fixe ou une réduction de dette de 55 000 euros avec un taux fixe de 5%. Nous avons tout d’abord eu espoir en une solution allant dans ce sens, car il nous a confié que certaines personnes avaient eu ce genre d’arrangement afin de pouvoir sortir sans trop d’encombres de ce contexte indépendant de notre volonté et de la leur. Notre dossier n’avait plus qu’à passer devant la commission qui trancherait. Deux semaines plus tard, il nous informe qu’un service plus haut placé avait ajouté une troisième proposition : un taux de 5% fixe sur 35 ans.
Cette nouvelle nous a semblé très étrange, car nous pensions bien qu’ils n’iraient pas nous faire un « cadeau » de 55 000 euros mais comme il l’on fait pour d’autres au moins de baisser le taux afin que nos mensualités restent raisonnables et n’excèdent pas les 1300 euros. J’ai donc renvoyé un courrier leurs demandant s’il n’existait pas un juste milieu entre les deux premières propositions et la troisième...
Notre conseillé nous a contactés après le conseil pour nous annoncer la nouvelle : c’est la troisième proposition qui a été choisie par la commission, et mon courrier n’a servi qu’à obtenir 0,05% d’intérêt en moins sur le taux, soit, 4,95% fixe sur 35 ans. Vous imaginez notre surprise et notre consternation face à une explication aberrante. Apparemment, ces réductions de dettes ne sont octroyées qu’aux personnes ne rentrant d’aucune manière dans le cadre « préférentiel » des 40% d’endettement et trop âgées pour obtenir plus de 30 ans de crédit.
Vous comprendrez donc notre frustration devant ceux que nous ne pouvons influencer que prudemment puisqu’ils sont seuls à nous permettre de ne pas revendre notre bien actuel sans y laisser des dettes. Nous pouvons financer cette somme mensuelle mais nous aurions préférés des mensualités plus proches de notre projet de départ. Nous savons que l’état à versé des fonds aux banques pour palier à la crise mais en leurs demandant de les utiliser à bon escient afin que TOUS sortent relativement indemnes de la crise. Parents de 3 enfants nous souhaitions ne pas subir les conséquences d’une cause qui nous échappe.
Nous allons recevoir l’offre dans les prochaines semaines et ne savons pas si nous devons l’accepter ou ???
Si vous avez des solutions nous sommes preneurs, car nous commençons à nous essouffler ...
Merci tout d'abord de votre patience si vous prenez le temps de lire ce LONGmessage
Nous sortons d’une négociation avec le service relais du CFF qui nous laisse dubitatifs.
En effet, nous avons été contraints de faire reprendre notre prêt initial car nous n’avions pas les fonds nécessaires pour rembourser notre prêt relais. Victimes, comme beaucoup de gens, d’une surévaluation de notre bien immobilier (par les agences mais également par l’expert de la banque) et des conséquences de la crise immobilière qui a suivie, nous avons dû, après un an de prêt relais coûteux, vendre notre pavillon 80 000 euros de moins que la somme escomptée au départ.
Ainsi, nous sommes aujourd’hui contraints de contracter un crédit de 270 000 euros au lieu des 200 000 euros initiaux. Nous avons été mis en relation avec un conseiller du service relais mis en place pour les personnes dans ce cas et avons été très surpris, dans un premier temps des propositions qui nous ont été faites. On nous a proposé de « bénéficier » d’un taux d’endettement de 40% au lieu des 33% prévus au départ et d’un crédit dont l’évolution permettait de nous faire des mensualités évolutives donc pas trop lourdes au début du prêt (et un autre que je laisse entre parenthèse car les mensualités nous endettaient au-delà du seuil).
Après plusieurs recommandés nous avons finalement obtenu des propositions plus que raisonnables, puisque aux vues de notre profil de clients sérieux et de notre ancienneté de trois ans sans aucun impayé notre conseillé a fait des simulations sur 30 ans (car lui n’avait pas la possibilité d’allonger davantage la durée comme nous le demandions dans nos courriers) avec une propositions de taux à 3% fixe ou une réduction de dette de 55 000 euros avec un taux fixe de 5%. Nous avons tout d’abord eu espoir en une solution allant dans ce sens, car il nous a confié que certaines personnes avaient eu ce genre d’arrangement afin de pouvoir sortir sans trop d’encombres de ce contexte indépendant de notre volonté et de la leur. Notre dossier n’avait plus qu’à passer devant la commission qui trancherait. Deux semaines plus tard, il nous informe qu’un service plus haut placé avait ajouté une troisième proposition : un taux de 5% fixe sur 35 ans.
Cette nouvelle nous a semblé très étrange, car nous pensions bien qu’ils n’iraient pas nous faire un « cadeau » de 55 000 euros mais comme il l’on fait pour d’autres au moins de baisser le taux afin que nos mensualités restent raisonnables et n’excèdent pas les 1300 euros. J’ai donc renvoyé un courrier leurs demandant s’il n’existait pas un juste milieu entre les deux premières propositions et la troisième...
Notre conseillé nous a contactés après le conseil pour nous annoncer la nouvelle : c’est la troisième proposition qui a été choisie par la commission, et mon courrier n’a servi qu’à obtenir 0,05% d’intérêt en moins sur le taux, soit, 4,95% fixe sur 35 ans. Vous imaginez notre surprise et notre consternation face à une explication aberrante. Apparemment, ces réductions de dettes ne sont octroyées qu’aux personnes ne rentrant d’aucune manière dans le cadre « préférentiel » des 40% d’endettement et trop âgées pour obtenir plus de 30 ans de crédit.
Vous comprendrez donc notre frustration devant ceux que nous ne pouvons influencer que prudemment puisqu’ils sont seuls à nous permettre de ne pas revendre notre bien actuel sans y laisser des dettes. Nous pouvons financer cette somme mensuelle mais nous aurions préférés des mensualités plus proches de notre projet de départ. Nous savons que l’état à versé des fonds aux banques pour palier à la crise mais en leurs demandant de les utiliser à bon escient afin que TOUS sortent relativement indemnes de la crise. Parents de 3 enfants nous souhaitions ne pas subir les conséquences d’une cause qui nous échappe.
Nous allons recevoir l’offre dans les prochaines semaines et ne savons pas si nous devons l’accepter ou ???
Si vous avez des solutions nous sommes preneurs, car nous commençons à nous essouffler ...