A compter du 1er septembre 2015, Generali Patrimoine lance un nouveau PERP pour compléter sa gamme de produits de retraite et de prévoyance, ouverte depuis le mois de juillet dernier à ses partenaires bancaires et conseillers en gestion de patrimoine indépendants.

Logiquement baptisé « PERP Generali Patrimoine », ce contrat, souscrit par l’association le Cercle des Epargnants, propose l’accès à un fonds en euros ainsi qu’à « près de 300 supports en unités de compte sélectionnés et gérés par des sociétés de gestion françaises et internationales », indique l’assureur. En revanche, il ne livre aucune précision sur les frais et autres seuils d’accès et notamment s’ils se distinguent d’Anthologie PERP, autre PERP de Generali distribué sur internet par des courtiers comme JDHM Vie.

Gestion libre, pilotée, avec ou sans sécurisation

Quatre modes de gestion différents sont disponibles pour les adhérents (à la souscription et tout au long de la vie du contrat). Parmi eux : « sécurisation progressive » et « horizon retraite », qui intègrent tous deux une sécurisation automatique par paliers sur le fonds en euros à l’approche de la retraite (comme le prévoient les règles de fonctionnement du PERP). Le mode « sécurisation progressive » inclut le choix entre deux profils en fonction duquel Generali effectuera les arbitrages, alors que « horizon retraite » donne accès au profil de gestion pilotée « diversifié dynamique » de DNCA Finance. En parallèle Generali propose aussi une gestion libre du contrat (avec 4 options d’arbitrages automatiques), ou pilotée via 3 profils gérés par DNCA Finance, Portzamparc et Edmond de Rothschild Asset Management.

Côté sortie, ce nouveau PERP signé Generali propose 3 modes de sortie en rente réversible au moment de la liquidation de la retraite de l’adhérent : rente viagère, avec annuités garanties ou par paliers, progressive ou dégressive. Une sortie en capital est aussi possible, « à hauteur de 20% de la valeur de rachat du contrat, le reste étant versé sous forme de rente ». Dans son communiqué l’assureur rajoute par ailleurs que « les primo-accédants peuvent percevoir leur épargne sous forme de capital pour financer leur achat immobilier, sous réserve notamment de ne pas avoir été propriétaires de leur résidence principale au cours des deux années précédant leur départ à la retraite ».