csg rétroactive

Le plus compliqué pour changer de pays c'est plutôt le contrat de travail
Le point central de cette question, c'est de disposer d'une compétence reconnue, et si possible susceptible de se trouver reconnue sur un plan international ..

Dans mon cas, et si nous avons opté pour l'expatriation alors que nous étions jeunes (autour de 25 ans), c'est juste parce qu'en France, il était difficile de prétendre à un poste à responsabilités à cet âge, alors qu'à l'étranger (hors d'Europe) c'était tout à fait possible ...

Et nous sommes restés une bonne douzaine d'années à l'étranger, dans plusieurs pays ...

Du moment que tu en trouves un à l'étranger après c'est bien plus facile.
Bien évidemment, et le premier point, ce sera de trouver un point de chute et d'hébergement, quitte à retenir une location au début pour découvrir l'environnement ....

Ensuite se posera la question d'ouvrir une structure financière (comptes bancaires & co), éventuellement en ne conservant qu'un seul compte en Europe ou en France ...

Pour la scolarité des enfants, pour nous le problème ne se posait pas encore, puisque nous étions jeunes mariés, et que nos enfants sont nés sur le lieu d'expatriation ...

Perso au final n'ayant jamais eu de contrat de travail en France je ne m'en porte que mieux :)
Certes, mais résidant à l'étranger, vous êtes en mesure de faire des sauts de puce en France, tout comme nous pouvons en faire autant en franchissant la proche frontière ...

Alors ensuite, maintenant en retraite, devenir non-résident, ce serait relativement facile, même si cela nécessiterait de prendre certaines décisions en matière financière et sociale ...
 
Lu à l'instant sur le site à l'origine de la pétition :

«Le texte du PLFSS ne prévoit aucune suppression rétroactive des taux historiques, notamment ceux applicables aux PEA ou à l’épargne salariale. Les produits acquis antérieurement à la hausse de la CSG demeureront taxés au taux en vigueur l’année où ils ont été réalisés », nous a confirmé ce matin l’Elysée.

Le texte a été amendé dans sa version adoptée en Conseil des ministres mercredi.
Le débat parlementaire peut toutefois encore modifier la donne.
 
Le point central de cette question, c'est de disposer d'une compétence reconnue, et si possible susceptible de se trouver reconnue sur un plan international ..

Dans mon cas, et si nous avons opté pour l'expatriation alors que nous étions jeunes (autour de 25 ans), c'est juste parce qu'en France, il était difficile de prétendre à un poste à responsabilités à cet âge, alors qu'à l'étranger (hors d'Europe) c'était tout à fait possible ...

Et nous sommes restés une bonne douzaine d'années à l'étranger, dans plusieurs pays ...


Bien évidemment, et le premier point, ce sera de trouver un point de chute et d'hébergement, quitte à retenir une location au début pour découvrir l'environnement ....

Ensuite se posera la question d'ouvrir une structure financière (comptes bancaires & co), éventuellement en ne conservant qu'un seul compte en Europe ou en France ...

Pour la scolarité des enfants, pour nous le problème ne se posait pas encore, puisque nous étions jeunes mariés, et que nos enfants sont nés sur le lieu d'expatriation ...


Certes, mais résidant à l'étranger, vous êtes en mesure de faire des sauts de puce en France, tout comme nous pouvons en faire autant en franchissant la proche frontière ...

Alors ensuite, maintenant en retraite, devenir non-résident, ce serait relativement facile, même si cela nécessiterait de prendre certaines décisions en matière financière et sociale ...

Très similaire :) suis parti direct après les études, parcours international, un bref retour qq mois (2 ans) pour le logement en France tout en travaillant à l'étranger puis redépart
Seul hic j'ai fait l'erreur d'investir lourdement dans l'immobilier français (bon pas vraiment une erreur ca m'a bien aidé financièrement parlant) mais bon du coup je dois maintenant me trainer encore qq années la fiscalité Fr....

Je te rejoins aussi qu'il était plus simple de progresser rapidement à l'étranger qu'en France que ce soit du point de vue responsabilité que salaire.
Pour les structures financières, bossant dans le secteur de la finance privée depuis mes débuts cela n'a jamais été un soucis :)

Pour les enfants nous on a opté pour l'école internationale (il y en a dans tous les pays)
 
Depuis le départ je pense que c'est ainsi ...
Il y eut un essai dans le projet de PLFSS de 2013 (initié par Christian Eckert), mais il aura rapidement retirer l'abolition du taux historique sur les placements qui y était soumis, mais il l'aura retiré avant présentation du projet ...

Ce que Eckert n'aura pas réussi à faire passer, il se pourrait bien que Lemaire le fasse passer ...

Même si la logique de la remise en cause du taux historique, soit de nature à ne pas respecter l'esprit du contrat antérieur passé ...
 
Je te rejoins aussi qu'il était plus simple de progresser rapidement à l'étranger qu'en France que ce soit du point de vue responsabilité que salaire.
Pour les structures financières, bossant dans le secteur de la finance privée depuis mes débuts cela n'a jamais été un soucis :)
Pou notre part, nous avons très bien vécu toutes ces péripéties, et me trouvant également dans la sphère financière à cette époque, il m'était souvent demandé de porter assistance à de nouveaux arrivés ...
Mais ce serait toute une histoire ..

Pour les enfants nous on a opté pour l'école internationale (il y en a dans tous les pays)
De fait, on retrouve 2 filières de formation ;
- les écoles internationales, avec un enseignement en anglais, souvent au profit d'enfants évoluant dans un environnement familial non francophone
- es écoles françaises, moins nombreuses, mais qui présentaient un bon niveau d'enseignement ; maintenant, qu'est devenu ce niveau, cela reste à évaluer ...

Mais ne s'éloigne-t-on pas du sujet d'origine, à savoir la remise en cause du taux historique ?
 
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