agra07
Contributeur régulier
Bonjour,Bonjour,
C'est bien ce que je disais; vous affirmez une chose sans la démontrer et il se fait précisément que ce n'est pas exact.
Vous voulez que je vous démontre quoi exactement? Que mes connaissances en mathématique, a priori plus poussées que la moyenne des emprunteurs, ne me permettent cependant pas de considérer votre approche comme simple et claire: c'est un fait et je n'y peux rien.
A mon sens, si le Législateur devait intervenir, ce ne serait pas la bonne piste.
Là, "le bas blesse": comment apprécier avec certitude les intérêts perçus sur les 15, 20 ou 25 années à venir?Le "Coût du Crédit Corrigé" repose sur des calculs d'intérêts payés et perçus (ou supposés tels) avec capitalisation annuelle; calculs que n'importe qui sachant faire une multiplication et une division peut faire facilement.
Impossible à "connaître" et si "défini", défini par qui ?Alors que que pour le coût du crédit corrigé ce n'est plus la "valeur actuelle" qui nous intéresse mais la "valeur acquise" au terme du crédit le plus long à partir d'un taux de rémunération connu/défini; donc avec des exposant allant de "+1" à "+n".
Pas convaincu.L'emprunteur obtient donc une lecture comparative directe, fiable et pertinente.