Non; c'est un tout.
Le point de départ qui permet de fixer une base de comparaison c'est le patrimoine financier acquis (épargne existante + placement supposé de l'équivalent des échéance de prêt) sur la durée la plus longue
=> hypothèse sans investissement physique; uniquement investissement financier.
Cette valeur acquise est calculée au taux de l'épargne déclaré (Cellule "AC5" =0,75% par défaut)
=> L'on désignera ce résultat par "A"
Ensuite dans chaque cas simulé l'on calcule:
+ Le coût du crédit simple (= intérêts + assurance + IRA)
+ Le coût du crédit corrigé (= Coût crédit simple + Manque à gagner en intérêts sur épargne immobilisée dans le projet + Manque à gagner en intérêts sur les échéances payées)
=> L'on désignera ce dernier résultat par "B"
Parallèlement, pour chaque cas, l'on calcule :
+ La valeur du patrimoine financier au terme de la durée la plus longue (= valeur acquise par l'épargne préalable résiduelle + valeur acquise par l'équivalent des échéances placées devenues disponibles à la fin du prêt)
+ En ajoutant le patrimoine physique (objet du crédit à l'origine) - sans plus value ni moins value - l'on obtient la valeur du patrimoine total à la fin de la durée la plus longue.
=> L'on désignera ce dernier résultat par "C"
Vous pouvez vérifier que les totaux "B" + "C" sont constants et égaux à "A" (ligne 29 = Contrôle de cohérence)
=> Le taux pivot est celui qui, compte tenu de tous ces coûts, manques à gagner et rentabilisation de sommes devenues disponibles (crédits remboursés) - pour chaque cas considéré - permettrait d'obtenir le même cout du crédit corrigé et/ou la même valeur du patrimoine total que s'l n'y avait pas eu de remboursement anticipé (crédit mené à son terme)
Il va sans dire que ces résultats varieront suivant le taux de l'épargne supposé saisi en cellule "AC5"
Cdt