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recherche copropriétaires aux toits du val d'Allos
- Auteur de la discussion xray
- Date de début
Alexandre 06
Membre
Je ne sais pas d'où vient se renseignement, mais je n'ai rien trouvé qui vient le corroboré.
Alexandre 06
Membre
Après recherche c'est exact, La joconde va essayer de nous faire un petit dans le dos...
Il ne faut pas qu'il s'en tire comme cela. Il convient à ce que tout le monde surveille le déroulement de l'histoire.
Il ne faut pas qu'il s'en tire comme cela. Il convient à ce que tout le monde surveille le déroulement de l'histoire.
Alexandre 06
Membre
Tout d'abord, il semble maintenant acquis que la situation de MLHR est grave : le fait qu'ils n'honorent plus leurs baux commerciaux, ni le syndic, ni les sous-traitants et qu'ils commencent à procéder au démantèlement du holding indique leur résignation à passer par la case "redressement judiciaire". Les informations obtenues par les avocats (extrait de kbis, état d'endettement délivré et certifié par le greffier, dette contractée auprès des différentes caisses publiques, ...) montrent toutefois que les caisses ne sont pas encore totalement vides, apparemment dans ce genre d'affaires, les déficits peuvent être faramineux ce qui n'est pas (encore ...) le cas.
La prévision la plus extrême aboutirait à la liquidation pure et simple des biens de Mona Lisa : la rupture de tous les baux et la perte de tous les avoirs en seraient les conséquences mais cette piste ne semble pas privilégiée car MLHR emploie plus de 300 personnes (les vagues de licenciement ne sont pas très bien vues) et la situation est encore "gérable".
L'évolution la plus probable est que, suite aux injonctions de payer de plus en plus nombreuses et de moins en moins acquittées, les avoirs de la société seront gelés et qu'un administrateur judiciaire sera nommé pour déterminer la viabilité de l'entreprise, l'exploitation des différents hôtels et résidences ainsi que les baux étant maintenus.
Soit l'entreprise ne peut plus assumer son activité, elle est mise en "cession" et la recherche d'un nouveau gestionnaire se fera de manière officielle, sous tutelle de cet administrateur nommé par le juge et avec acceptation du plan par les créanciers (c'est-à-dire nous!!).
Soit l'entreprise peut continuer d'exercer son activité sous le contrôle de ce même administrateur : c'est le redressement judiciaire, cela n'empêche en rien des ententes entre MLHR et d'éventuels repreneurs pour un changement de gestion, tout cela s'effectuant toujours sous tutelle et avec acceptation des créanciers.
Dans tous les cas de figures, les propriétaires n'ayant rien récupéré avant la saisie du tribunal de commerce pourront faire une croix sur leur loyer 2008.
D'autre part, il semblerait qu'une association de propriétaires "tous solidaires"("l'union fait la force" ) ne tiendrait pas le choc face à la réalité de ce qui nous attend ... L'entente maximale entre nous tous reste nécessaire si des décisions doivent être prises face à un administrateur et cela n'a pas été remis en question par nos deux conseillés mais ils ont soulignés que les intérêts individuels étaient trop divergents pour qu'une action commune sur toute la durée de la procédure soit viable ...
Je pense qu'il serait judicieux d'adhérer à l'une des associations formées dans le but de maintenir le contact que nous avons eu tant de mal à nouer ... Mais, il est clair que si le besoin d'un conseil juridique s'avère indispensable, il faudra avoir son propre avocat qui saura tout de votre dossier et de votre statut fiscal.
Concrètement, la marche à suivre sera à adapter à chacun et à chaque statut fiscal avant tout. Les pistes directives qui ont été proposées commencent par le fait qu'il faut obtenir la preuve (pour l'administration fiscale) de notre volonté de récupérer notre dû pour respecter les clauses de notre bail commercial Lettre avec AR pour demander le paiement au minimum (auquel nous sommes tous très attachés!!), il faut avoir "un titre" : le commandement de payer est une étape mais on peut directement passer à l'étape suivante (plus agressive mais apparemment plus payante) qui est l'assignation au tribunal de commerce avec ordre de payer ( "les premiers arrivés seront les premiers servis").( Les premières procédures passent début Mars au TGI de Paris )
Il faut savoir qu'un commandement de payer coûte environ 170 € (Il ne paie plus) pour un loyer dû de 6000 € TTC et la procédure s'arrête là alors qu'une assignation fait partie d'un "forfait" de 1400 € TTC quel que soit le montant réclamé et la procédure complète est alors prise en charge. Je vous donne les tarifs des personnes que j'ai contactées, les frais d'avocats sont variables en fonction des cabinets. (Attention cette procédure n’aura servi à rien si une liquidation est prononcée)
Cela est une démarche individuelle, aucun association n’à le pouvoir de demander quelque chose collectivement (on n'est pas aux Etats-Unis).
Il est important de peser le pour et le contre, le montant des sommes dues et notre capacité à payer les frais, l'efficacité plus ou moins grande de chacune des 2 démarches.
La suite dépendra de chacun des statuts fiscaux ( A la foux ZRR pour tout le monde, nous sommes donc tous concernés de la même façon ) et de l'attitude du tribunal saisi, il faut savoir que le retour à la réalité va être dur, ce genre de montage financier étant très attractif sur le papier mais la majorité d'entre eux se révèlent peu rentables voir déficitaires sur le long terme d'après les avocats. La seule attitude sera de s'accrocher à son bail pour essayer de traverser cette crise et de réévaluer ses attentes quant la situation se sera éclaircie.( Ne casser le bail que lorsque nous aurons une porte de sortie, repreneur, auto gestion … )
La prévision la plus extrême aboutirait à la liquidation pure et simple des biens de Mona Lisa : la rupture de tous les baux et la perte de tous les avoirs en seraient les conséquences mais cette piste ne semble pas privilégiée car MLHR emploie plus de 300 personnes (les vagues de licenciement ne sont pas très bien vues) et la situation est encore "gérable".
L'évolution la plus probable est que, suite aux injonctions de payer de plus en plus nombreuses et de moins en moins acquittées, les avoirs de la société seront gelés et qu'un administrateur judiciaire sera nommé pour déterminer la viabilité de l'entreprise, l'exploitation des différents hôtels et résidences ainsi que les baux étant maintenus.
Soit l'entreprise ne peut plus assumer son activité, elle est mise en "cession" et la recherche d'un nouveau gestionnaire se fera de manière officielle, sous tutelle de cet administrateur nommé par le juge et avec acceptation du plan par les créanciers (c'est-à-dire nous!!).
Soit l'entreprise peut continuer d'exercer son activité sous le contrôle de ce même administrateur : c'est le redressement judiciaire, cela n'empêche en rien des ententes entre MLHR et d'éventuels repreneurs pour un changement de gestion, tout cela s'effectuant toujours sous tutelle et avec acceptation des créanciers.
Dans tous les cas de figures, les propriétaires n'ayant rien récupéré avant la saisie du tribunal de commerce pourront faire une croix sur leur loyer 2008.
D'autre part, il semblerait qu'une association de propriétaires "tous solidaires"("l'union fait la force" ) ne tiendrait pas le choc face à la réalité de ce qui nous attend ... L'entente maximale entre nous tous reste nécessaire si des décisions doivent être prises face à un administrateur et cela n'a pas été remis en question par nos deux conseillés mais ils ont soulignés que les intérêts individuels étaient trop divergents pour qu'une action commune sur toute la durée de la procédure soit viable ...
Je pense qu'il serait judicieux d'adhérer à l'une des associations formées dans le but de maintenir le contact que nous avons eu tant de mal à nouer ... Mais, il est clair que si le besoin d'un conseil juridique s'avère indispensable, il faudra avoir son propre avocat qui saura tout de votre dossier et de votre statut fiscal.
Concrètement, la marche à suivre sera à adapter à chacun et à chaque statut fiscal avant tout. Les pistes directives qui ont été proposées commencent par le fait qu'il faut obtenir la preuve (pour l'administration fiscale) de notre volonté de récupérer notre dû pour respecter les clauses de notre bail commercial Lettre avec AR pour demander le paiement au minimum (auquel nous sommes tous très attachés!!), il faut avoir "un titre" : le commandement de payer est une étape mais on peut directement passer à l'étape suivante (plus agressive mais apparemment plus payante) qui est l'assignation au tribunal de commerce avec ordre de payer ( "les premiers arrivés seront les premiers servis").( Les premières procédures passent début Mars au TGI de Paris )
Il faut savoir qu'un commandement de payer coûte environ 170 € (Il ne paie plus) pour un loyer dû de 6000 € TTC et la procédure s'arrête là alors qu'une assignation fait partie d'un "forfait" de 1400 € TTC quel que soit le montant réclamé et la procédure complète est alors prise en charge. Je vous donne les tarifs des personnes que j'ai contactées, les frais d'avocats sont variables en fonction des cabinets. (Attention cette procédure n’aura servi à rien si une liquidation est prononcée)
Cela est une démarche individuelle, aucun association n’à le pouvoir de demander quelque chose collectivement (on n'est pas aux Etats-Unis).
Il est important de peser le pour et le contre, le montant des sommes dues et notre capacité à payer les frais, l'efficacité plus ou moins grande de chacune des 2 démarches.
La suite dépendra de chacun des statuts fiscaux ( A la foux ZRR pour tout le monde, nous sommes donc tous concernés de la même façon ) et de l'attitude du tribunal saisi, il faut savoir que le retour à la réalité va être dur, ce genre de montage financier étant très attractif sur le papier mais la majorité d'entre eux se révèlent peu rentables voir déficitaires sur le long terme d'après les avocats. La seule attitude sera de s'accrocher à son bail pour essayer de traverser cette crise et de réévaluer ses attentes quant la situation se sera éclaircie.( Ne casser le bail que lorsque nous aurons une porte de sortie, repreneur, auto gestion … )
Alexandre 06
Membre
Sa sent leur clause à la con qu'ils ont glissé dans presque tous les baux....
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