moietmoi
Top contributeur
Bonjour,
Merci Aristide,
A la lecture je comprends que toute personne en perte sur un contrat, lors de sa conclusion peut attaquer le cgp.
En effet, même si le cgp a prévenu des risques, comme en faisant d'autres choix de placements, il aurait été possible de moins ou ne pas perdre, on ne décide de la forclusion du délai de prescription que 5 ans après la conclusion.
Cela me paraît mettre en danger toute une profession:
Cassation:
"Elle rappelle en effet que le défaut d’information sur le risque de pertes liées à ces investissements ou le manque de conseil au regard d'un tel risque, prive le souscripteur d'une chance d'éviter la réalisation de ces pertes. Or, ces pertes ne se réalisent qu'au rachat du contrat d'assurance."
Mais la cour d'appel indiquait :
Selon les magistrats, les plaignants étaient en effet informés dès la conclusion des contrats que les supports conseillés
comportaient des risques de perte en capital.
Le point essentiel étant pour moi: le client a t il été averti du risque.
Merci Aristide,
A la lecture je comprends que toute personne en perte sur un contrat, lors de sa conclusion peut attaquer le cgp.
En effet, même si le cgp a prévenu des risques, comme en faisant d'autres choix de placements, il aurait été possible de moins ou ne pas perdre, on ne décide de la forclusion du délai de prescription que 5 ans après la conclusion.
Cela me paraît mettre en danger toute une profession:
Cassation:
"Elle rappelle en effet que le défaut d’information sur le risque de pertes liées à ces investissements ou le manque de conseil au regard d'un tel risque, prive le souscripteur d'une chance d'éviter la réalisation de ces pertes. Or, ces pertes ne se réalisent qu'au rachat du contrat d'assurance."
Mais la cour d'appel indiquait :
Selon les magistrats, les plaignants étaient en effet informés dès la conclusion des contrats que les supports conseillés
comportaient des risques de perte en capital.
Le point essentiel étant pour moi: le client a t il été averti du risque.