MARC HENRI
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Marie a acheté sa résidence principale en 2004 au moyen d'un pret bancaire. Frappée par différents accidents de la vie, elle ne peut plus faire face aux échéances du prêt et se heurte rapidement au rouleau compresseur du CIC.
Echéances impayées : transfert du dossier au contentieux, déchéance du terme, c'est à dire exigibilité totale du solde restant dû, injonction d'huissier, menace de mise en vente aux enchères de sa maison...Marie se bat et obtient une aide de sa famille de 80000 € qu'elle verse à la banque, espérant un arrangement de la banque pour les 30000 € qu'elle doit encore. Marie a en effet retrouvé du travail et peut rembourser sa dette à condition qu'on lui donne du temps...
Hélas, le rouleau compresseur CIC ne s'arrête pas et Marie constate que sa maison est mise à prix 60000 € (pour couvrir les 30000 € restants dûs) alors qu'elle est estimée au minimum à 250000 €...
Marie se bat encore et sollicite sa famille qui veut couvrir le solde qu'elle doit avant la date du 15/10, date de la vente aux enchères. Mais les avocats trainent , ne répondent pas, à croire qu'ils souhaitent que la vente ait lieu au prix dérisoire prévu, faisant ainsi la bonne affaire d'un acquéreur prévenu.
Belle morale de ce monde impitoyable... Est-ce ce monde là que nous voulons ?
Echéances impayées : transfert du dossier au contentieux, déchéance du terme, c'est à dire exigibilité totale du solde restant dû, injonction d'huissier, menace de mise en vente aux enchères de sa maison...Marie se bat et obtient une aide de sa famille de 80000 € qu'elle verse à la banque, espérant un arrangement de la banque pour les 30000 € qu'elle doit encore. Marie a en effet retrouvé du travail et peut rembourser sa dette à condition qu'on lui donne du temps...
Hélas, le rouleau compresseur CIC ne s'arrête pas et Marie constate que sa maison est mise à prix 60000 € (pour couvrir les 30000 € restants dûs) alors qu'elle est estimée au minimum à 250000 €...
Marie se bat encore et sollicite sa famille qui veut couvrir le solde qu'elle doit avant la date du 15/10, date de la vente aux enchères. Mais les avocats trainent , ne répondent pas, à croire qu'ils souhaitent que la vente ait lieu au prix dérisoire prévu, faisant ainsi la bonne affaire d'un acquéreur prévenu.
Belle morale de ce monde impitoyable... Est-ce ce monde là que nous voulons ?