Les épargnants sont les prochaines victimes ?

Sans compter les comptes étrangers, ou autres placements.
Les gens pourront également déménager très facilement car ils vont encore faciliter la mobilité européenne donc la clairement si ils taxent le capital il ne restera que des pauvres qui viendront en France
 
Histoire d'alimenter la réflexion, aucun de nos hommes politiques n'a d'actions, alors vous pensez bien qu'ils ne voient même pas où est le problème dans la taxation au taux fixe d'un patrimoine global.

De même que ça ne les gène absolument pas de taxer les successions à un point tel que le bien transmis doit être vendu pour payer les droits de successions.

On assiste au même cas pour l'ISF, lorsque une personne dispose d'un bien immo surévalué dans une ville surtaxée, sans avoir les revenus qui permettent d'assurer l'entretien et le paiement des taxes => vente du bien en question.

Quand on a face à soi le pire de ce qui se fait en gestion budgétaire/financière (ramenée aux finances d'un ménage, la dette de l'Etat français représente 230 000 €*), toutes les absurdités économiques ne sont que des menus détails quand il s'agit d'assurer la survie de son train de vie.

(*c'est à dire si le ménage moyen s'endettait relativement à son revenu autant que l'Etat)
 
Turbo-057 a dit:
Les gens pourront également déménager très facilement car ils vont encore faciliter la mobilité européenne donc la clairement si ils taxent le capital il ne restera que des pauvres qui viendront en France

Oui c'est le but.

Dans un pays collectiviste et socialiste, il faut que l'électeur soit pauvre et ait besoin de l'Etat, sinon il risque de mal voter.
 
Dernière modification:
Oui c'est le but.

Dans un pays collectiviste et socialiste, il faut que l'électeur soit pauvre et ait besoin de l'Etat, sinon il risque de mal voter.

Oui c'est le but.

Dans un pays collectiviste et socialiste, il faut que l'électeur soit pauvre et ait besoin de l'Etat, sinon il risque de mal voter.

iBonjour RamonLacheminée; nous sommes d'accord sur l'analyse du risque de "confiscation" mais pas sur le reste, moi je trouve que l'ambiance générale est à l'exarcébération à outrance du libéralisme le plus total, ou la commission européenne sous pression des fonds de pensions américains prend les gouvernement en otage pour étrangler les populations européenes et mondiales au seul profit des financiers nord américains; fin de ma minute "politique"

revenons à

Quand on a face à soi le pire de ce qui se fait en gestion budgétaire/financière (ramenée aux finances d'un ménage, la dette de l'Etat français représente 230 000 €*), toutes les absurdités économiques ne sont que des menus détails quand il s'agit d'assurer la survie de son train de vie.

(*c'est à dire si le ménage moyen s'endettait relativement à son revenu autant que l'Etat]

cette comparaison est interessante car elle montre que la France est peu endettée car effectivement beaucoup de ménage français( la majorité des propriétaire de leur RP) ont une dette entre 150 et 500 000 euros et personnne s'en offusque;

le défaut de la comparaison avec le PIB, la dette fait 90% du pib (oulalalala!!!) c est de citer la dette sans se soucier de le durée de celle ci et du PIB produit pendant cette durée(en moyenne la dette de la France est à 7 ans et 3 mois)

les américains et les japonais eux l'ont bien compris et ils laissent filer leur dette, sachant que de toute façon, personne n'a jamais envisagé qu'un jour elle soit réellement remboursée;

A partir du moment ou l'on veut restreindre la dette , on sera obligé à faire les confiscations autoritaires et malsaines
 
Sur le volet politique : c'est là que vous vous trompez.
L'UE est une formidable machine à comprimer les libertés. La monnaie, les normes toutes plus farfelues, l'éloignement flagrant des politiques des peuples, et de toute forme de responsabilité d'autre part.

Tout cela n'a rien à voir avec le libéralisme. On pourrait en parler longuement, mais je pense que vous avez une vision caricaturale du libéralisme, en ne voyant que les gros méchants vilains financiers (qui entre nous soit dit, ne sont pas plus libéraux que vous, ils ont tout intérêt à voir perdurer le système actuel de lobbying, capitalisme de connivence et corruption des élites pour maintenir leur pouvoir).

Le libéralisme, c'est avant tout la liberté et la défense des droits fondamentaux, dont le droit de propriété par dessus tout. Ce droit là, l'UE l'a montré en faisant de Chypre un modèle de sauvetage, elle s'en moque royalement. Dès lors qualifier l'UE de libérale me fait doucement rire.

Sur le volet budgétaire/financier : je me suis mal exprimé ou vous avez mal compris.

La dette de l'Etat représente 8 années de budget, c'est monstrueux, même comparé aux ménages surendettés. C'est une escroquerie que de comparer la dette de l'Etat à la richesse produit dans le pays. On ne compare pas la dette d'une entreprise à la taille du marché sur lequel elle est positionnée, ça n'a aucun sens.

Restreindre la taille de la dette, c'est possible, mais ça ne se fait pas en soufflant dessus et instantanément. Cela prendra longtemps, il faudra réduire drastiquement les dépenses, non pas pour dégager de l'excédent budgétaire, mais pour rendre en baisse d'impôts aux ménages et aux entreprises, histoire de sauver ce qui peut encore l'être.
Sans cela, l'activité n'a strictement aucune chance de redémarrer (cf grèce), et on sera en plein dans l'effet Laffer (oui oui celui-là même qui commence à chatouiller les narines de nos gouvernants).

Donc 1 réduire la dépense publique, 2 baisser les impôts, 3 continuer à rationaliser et à diminuer le périmètre d'intervention de l'Etat pour dégager un peu d'excédent, 4 stopper la hausse de la dette, 5 commencer à rembourser (même si c'est sur une base de qqs siècles de remboursement, il faut faire baisser la charge de l'emprunt qui est une perte sèche pour l'économie nationale)
 
Nous ne sommes effectivement pas d accord sur grand chose... je vais essayer de rester dans le sujet; comment les épargnants vont être mis à contribution... pour des choses dont d'après moi ils ne sont pas responsables

l'UE est une formidable machine à comprimer les libertés. La monnaie, les normes toutes plus farfelues, l'éloignement flagrant des politiques des peuples, et de toute forme de responsabilité d'autre part

tou a fait d accord, mais l UE n est que le jouet des américains pour établir le grand marché transatlantique négocié en secret depuis des années pour asservir les populations européenne aux exigences des capitaux US ;

Le libéralisme, c'est avant tout la liberté et la défense des droits fondamentaux, dont le droit de propriété par dessus tout

les idéaux sont beaux, l idéal communiste aussi, rendre l'économie au service des humains...mais poussé à son paroxysme,les libertés totales des uns sont des moyens d'asservissements:
j'en prendrais pour exemple et pour rester dans le sujet un spéculateur bien connu pour le compte des fonds de pensions:

Soros devient célèbre le 16 septembre 1992 surnommé « le mercredi noir » en spéculant contre la livre sterling : La Grande-Bretagne est obligée de sortir la livre du système monétaire européen, alors que Soros gagne selon la presse environ 1 milliard de dollars dans l’opération. La position de son fonds sur la livre sterling était de 10 milliards de dollars. Après cette opération, il fut surnommé « l’homme qui a brisé la banque d’Angleterre »

http://www.next-finance.net/George-Soros-l-homme-qui-a-fait


Donc une homme dans un bureau , a réussi a infliger 10 à 15 ans de baisse du smic et de malheur à l' Angleterre, pour rattraper sa spéculation, pour le bonheur de son fonds;

Voilà la liberté du libéralisme, et bien aujourd'hui 20 ans après cet épisode; des Sorros ; il y en a qui dirigent les fonds de pensions américain, et qui avec des moyens démultipliés par rapport aux années 1990, asservissent les populations par des confiscations à la chypriote, et des plans d'austérité à la française;

Voilà pourquoi je pense que l'histoire de la dette n est que baliverne pour nous culpabiliser et faire accepter le titre de ce post: les épargnants seront les prochaines victimes
 
Dernière modification:
Eh ben, vous nous en servez du grand méchant vilain financier.

L'UE jouet des méchants libéraux financiers américains, je vous invite à regarder un peu le pédigrée des bonhommes qui dirigent la commission, le parlement, etc. Pas vraiment du libéral tout ça, m'enfin je n'arriverais pas à vous convaincre.

Pour revenir au sujet, la légitimité de la dette.

Le petit problème dans votre raisonnement, c'est que vous oubliez que la finance n'est qu'un moyen, de la tuyauterie.

D'où vient la dette française ? De 40 années de déficits accumulés.

Est-ce normal de payer des intérêts sur cette dette et de ne pas emprunter à taux 0 à la banque de France ?
Oui. Autrement, il aurait fallu dévaluer massivement la monnaie pour monétiser tout ce paquet de fric parti en fumet dans les méandres des administrations publiques.
Et si vous vous plaignez de voir les banques se gaver des intérêts, ça m'étonnerait que le rachat des entreprises et de l'immobilier français par les russes, qataris et autre ne vous révulse pas tout autant.
Et la dévaluation c'est aussi la hausse du coût des matières premières, et quand on monétise 2000 milliards de dette, c'est pas une petite hausse qui se voit à peine.

Qui prête à la France ?
En grande partie, vous et moi, à travers les assurances vie en grande partie. L'assurance vie en France, c'est 1400 milliards d'euros, dont la majeure partie en fonds euros, qui sont en grande partie investis en dettes des Etats européens (France, Allemagne, Italie, Espagne...).
Là où ça commence à devenir rigolo, c'est que le Français a un instinct de survie pas si sous-développé que ça : plus l'Etat fait des erreurs de gestion, plus il épargne frénétiquement, plus il remplit son fonds euro (sans risque), dont il se désespère d'obtenir un rendement de plus en plus faible malgré une hausse de l'inflation (l'inflation n'est qu'une spoliation déguisée de l'épargnant, je vous invite à relire le § précédent avec ce prisme)

Vous commencez à voir où ça nous mène ?

Ne pas rembourser la dette de l'Etat, ou monétiser la dette, c'est en priorité spolier ceux qui ont le mieux prévu les difficultés à venir.
Bien plus que faire mal à la finance internationale apatride qui vous fait tant fantasmer.
 
Continuer a échanger avec vous est un plaisir, mais je crains que pour exprimer complètement nos points de vue , nous sortions complètement du cadre de ce forum et du fil de ce post:
2 remarques qui illustrent pourquoi je pense que l ensemble de la situation est pipée et que votre argumentation est cohérente, mais le cadre général de la situation ne l'est pas, donc vous essayez de construire une réponse logique dans un jeu truqué; donc la réponse n est pas acceptable;

vous dites:
Qui prête à la France ?

savez vous que la loi interdit et punit pénalement de révéler qui détient la dette?

et
Vous commencez à voir où ça nous mène ?

Ne pas rembourser la dette de l'Etat.......

croyez vous qu'un seul économiste au monde, croit que la dette sera un jour remboursée???

pas un seul économiste à ce jour lorsque la question est posée repond par l'affirmative, au contraire; (en général un long monologue s'instaure pour voir qui tient l autre du créancier ou du prêteur, mais à la question précise; sera t elle remboursée un jour; la réponse est toujours : NON)

Donc tout votre raisonnement est logique et me convainc juste du fait que la propagande vous a convaincu;
la question qui reste est comment protéger les épargnants d'une mesure type chypriote à la française ou plutôt sur ce forum comment faire individuellement pour planquer légalement ses économies
 
convertir tout ses assets "papier" en biens physiques ? métaux précieux par exemple, immobilier je le sens moins..
 
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