Bonjour,
Je reprends et synthétise ici l'historique de la mise en place de notre crédit immo. On ne parlera pas ici d'assurance de prêt car nous ferons de la délégation dans un second temps.
Pour résumer :
1. On fait d'abord appel à un courtier et on signe un mandat de recherche (non-exclusif)
2. Une semaine après avoir transmis le dossier au courtier, celui-ci nous propose un taux à 1.55% à la Banque Postale
3. Ensuite, de notre coté, on va voir deux autres banques, le meilleur taux proposé est finalement de 1.4% (Crédit Agricole)
4. Nous informons le courtier de nos démarches. Une semaine après, ô surprise, le courtier nous annonce qu'il a réussi à négocier 1.39% avec la Banque Postale
5. On décide donc de signer avec le Crédit Agricole qui reste la meilleur offre car sans les 1 000 euros d'honoraires du courtier.
Entre temps, le courtier nous avait annoncé que le crédit Agricole et une autre banque n'aurait pas du négocier directement avec nous car il avait déjà déposé le dossier. Problème, les 2 banques en question nous affirme n'avoir jamais reçu de dossiers à nos noms avant que l'on vienne les voir....
Alors, qui dit la vérité dans cette histoire? Impossible finalement de savoir. Mais ce que je regrette vraiment c'est la façon opaque dont s'est passé notre relation avec le courtier: il ne nous a fournit aucune preuve, aucun doc officiel de ses démarches. Impossible donc de savoir quelle banque il a vraiment démarché. Même sur l'offre final, ce sont seulement des chiffres envoyés par mail. De plus, nous n'avons aucune idée de la commission qu'il perçoit par la banque.
Je regrette donc ses méthodes car elle ne favorise pas une relation de confiance. D'ou les questions suivantes :
-> Est-ce que de telles pratiques sont "banales" dans la profession?
-> Que dit la loi si l'on vient démarcher une banque (en agence) après le courtier? Est-ce légal?
Bref, je suis vraiment curieux d'avoir vos retours sur la question car je trouve que ce n'est pas un problème anodin. Ici, si l'on avait laissé libre court au courtier, on aurait perdu 5 000 euros en coût de crédit (diff entre 1.55% et 1.4%). A mon sens, la profession gagnerait en crédibilité en étant plus transparente.
Merci d'avance.
Je reprends et synthétise ici l'historique de la mise en place de notre crédit immo. On ne parlera pas ici d'assurance de prêt car nous ferons de la délégation dans un second temps.
Pour résumer :
1. On fait d'abord appel à un courtier et on signe un mandat de recherche (non-exclusif)
2. Une semaine après avoir transmis le dossier au courtier, celui-ci nous propose un taux à 1.55% à la Banque Postale
3. Ensuite, de notre coté, on va voir deux autres banques, le meilleur taux proposé est finalement de 1.4% (Crédit Agricole)
4. Nous informons le courtier de nos démarches. Une semaine après, ô surprise, le courtier nous annonce qu'il a réussi à négocier 1.39% avec la Banque Postale
5. On décide donc de signer avec le Crédit Agricole qui reste la meilleur offre car sans les 1 000 euros d'honoraires du courtier.
Entre temps, le courtier nous avait annoncé que le crédit Agricole et une autre banque n'aurait pas du négocier directement avec nous car il avait déjà déposé le dossier. Problème, les 2 banques en question nous affirme n'avoir jamais reçu de dossiers à nos noms avant que l'on vienne les voir....
Alors, qui dit la vérité dans cette histoire? Impossible finalement de savoir. Mais ce que je regrette vraiment c'est la façon opaque dont s'est passé notre relation avec le courtier: il ne nous a fournit aucune preuve, aucun doc officiel de ses démarches. Impossible donc de savoir quelle banque il a vraiment démarché. Même sur l'offre final, ce sont seulement des chiffres envoyés par mail. De plus, nous n'avons aucune idée de la commission qu'il perçoit par la banque.
Je regrette donc ses méthodes car elle ne favorise pas une relation de confiance. D'ou les questions suivantes :
-> Est-ce que de telles pratiques sont "banales" dans la profession?
-> Que dit la loi si l'on vient démarcher une banque (en agence) après le courtier? Est-ce légal?
Bref, je suis vraiment curieux d'avoir vos retours sur la question car je trouve que ce n'est pas un problème anodin. Ici, si l'on avait laissé libre court au courtier, on aurait perdu 5 000 euros en coût de crédit (diff entre 1.55% et 1.4%). A mon sens, la profession gagnerait en crédibilité en étant plus transparente.
Merci d'avance.