Il y a 10 ans, la crise des subprimes.

Moi qui ait raté les anciennes grosses crises (subprimes et dettes souveraines à savoir Grèce et Italie), j'espère faire de bonnes affaires.

Si les bancaires se font décimés, je prendrais bien du BNP:p
Avec achat de Air Liquide, Axa, Shell et Nestlé.:love:

D'après certains connaisseurs en obligations, il y a aussi de beaux coups à jouer sur les obligations italiennes mais là c'est technique et je ne maitrise pas.
 
Beaucoup de gens voudraient être celui ou celle qui aura prédit la prochaine grande crise financière internationale.

Si elle devait arriver je ne pense pas que cela parte de l'Italie. J'imagine bien par contre une guerre commerciale internationale ou tous les pays se tireraient dans les pattes à coups de taxe douanières.

Mais bon ne souhaitons pas que tout cela arrive :)
 
Mais bon ne souhaitons pas que tout cela arrive :)
Une fois avisé que cela peut se produire, ce qui compte pour nous autres cbanquenautes, c'est : quelles sont les mesures à prendre actuellement pour être le moins vulnérable en cas de crise, tout en n'obérant pas les bonnes opportunités ,si la crise ne survient pas;
 
Je dois avouer que ce sujet en effet me travaille l'esprit depuis quelques semaines maintenant. Trouver le bon dosage de liquidité pour ne pas tomber dans les extrêmes : soit ne pas être assez investi et du coup ne pas rentabiliser son capital ou être trop investi et risquer son capital si la fameuse récession arrive. Tout un dilemme ! D'autant qu'on le sait maintenant, tout tient sur les 2 index de Donald Trump !

Je vais avoir tendance je pense à refréner un peu mes ardeurs ! être plus rigoureux dans mes choix et dans ma stratégie !

Récession or not récission ? That is the question !
 
soit ne pas être assez investi et du coup ne pas rentabiliser son capital ou être trop investi et risquer son capital si la fameuse récession arrive. T
pourquoi ne pas raisonner en 'investissements tangibles " …...
une maison ou un appart , meme si leur valeur faciale diminue ( momentanément ) ca n'est pas grave , tant que tu ne cherches pas à la vendre ...
 
pourquoi ne pas raisonner en 'investissements tangibles " …...
une maison ou un appart , meme si leur valeur faciale diminue ( momentanément ) ca n'est pas grave , tant que tu ne cherches pas à la vendre ...
On dit souvent la même chose à propos des valeurs boursières, à savoir que tant qu'on n'a pas vendu, on n'a rien perdu. Ce n'est pas faux. Mais, la valeur réelle d'une action ou d'une part d'OPCVM investi en action me semble plus difficile à apprécier que celle d'une maison ou de tout autre bien immobilier tangible. Par ailleurs, certaines valorisations boursières sont parfois assez déconnectées de la valeur intrinsèque et dans l'hypothèse d'une crise majeure, des réajustements sévères ne manqueraient pas d'intervenir sur ces valeurs.
Ceci dit, s'il devait y avoir une crise majeure, tout le monde souffrirait, y compris les propriétaires d'immobilier tangible.
 
la valeur réelle d'une action ou d'une part d'OPCVM investi en action me semble plus difficile à apprécier que celle d'une maison ou de tout autre bien immobilier tangible.
Vraiment ?
Sauriez-vous formuler à peu près clairement comment on évalue la "valeur réelle" d'une maison ? Je sais facilement évaluer sa valeur de marché, ou même sa valeur de rendement, mais j'aurais bien du mal avec sa valeur réelle.
 
Vraiment ?
Sauriez-vous formuler à peu près clairement comment on évalue la "valeur réelle" d'une maison ? Je sais facilement évaluer sa valeur de marché, ou même sa valeur de rendement, mais j'aurais bien du mal avec sa valeur réelle.
Je ne sais pas si je saurais formuler clairement comment on évalue la valeur réelle d'une maison. Valeur réelle et valeur de marché ne me semblent pas être des notions tellement différentes. Il me semble même que c'est la même chose, bien que je ne prétends pas être un expert dans la terminologie de l'évaluation immobilière.
Il y a quand même de multiples façons d'estimer la valeur d'une maison. La première est de consulter les annonces immobilières et de procéder par comparaison. Il y a aussi la base des transactions immobilières des impôts qui fournit des données essentielles à rapprocher de l'immeuble à evaluer. Après, c'est vrai qu'il est plus facile d'évaluer un appartement pour lequel les comparaisons sont plus faciles au sein de l'immeuble qu'une maison isolée aux caractéristiques particulières.
Il y a moins d'un an, nous avons du vendre la maison de mon père suite à son décès. Nous n'avons pas jugé utile de recourir à des agents immobiliers et nous n'avons eu aucun mal à trouver la valeur, réelle, de marché, intrinsèque, comme vous voudrez. A vous de choisir.
Cdt
 
On dit souvent la même chose à propos des valeurs boursières, à savoir que tant qu'on n'a pas vendu, on n'a rien perdu. Ce n'est pas faux. Mais, la valeur réelle d'une action ou d'une part d'OPCVM investi en action me semble plus difficile à apprécier que celle d'une maison ou de tout autre bien immobilier tangible.
oui, car en tant de crise, la valeur de capitalisation boursière ( donc nbre d'actions*cours) peut devenir inférieure à la valeur de l'actif tangible de l'entreprise; Ce qui n'est pas le cas de l'immobilier; la valeur reste la valeur, soumise à variation;
Pour ma part, friand de l'immobilier, une partition du patrimoine entre valeur de rendement(dont le capital est sensible au crise, mais de bon rendement) et les biens patrimoniaux, moins sensible aux crises, mais peu rentables, me semble une méthode de diversification;
 
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