Dans une interview à l’Argus de l’Assurance, le vice-président de l’ACPR appelle les assureurs vie à renoncer au fonds en euros. Et ce, au profit de supports plus risqués, et donc plus rémunérateurs pour eux.
Le support garanti de l’assurance vie, très recherché par les épargnants français, est-il amené à disparaître ? Oui, à en croire le vice-président de l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution). Dans une interview accordée ce mardi 10 septembre à l’Argus de l’Assurance, Bernard Delas estime que les assureurs vie devront “renoncer aux produits en euros offrant à la fois la protection du capital et une liquidité permanente”.
En cause, la baisse continue du taux de rendement des obligations, principale classe d’actifs composant les fonds en euros classiques de l’assurance vie. Du coup, ce support garanti ne rapporte plus beaucoup d’argent, ni à l’épargnant, ni à l’assureur. Et ce contexte est parti pour durer.
Le support garanti de l’assurance vie, très recherché par les épargnants français, est-il amené à disparaître ? Oui, à en croire le vice-président de l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution). Dans une interview accordée ce mardi 10 septembre à l’Argus de l’Assurance, Bernard Delas estime que les assureurs vie devront “renoncer aux produits en euros offrant à la fois la protection du capital et une liquidité permanente”.
En cause, la baisse continue du taux de rendement des obligations, principale classe d’actifs composant les fonds en euros classiques de l’assurance vie. Du coup, ce support garanti ne rapporte plus beaucoup d’argent, ni à l’épargnant, ni à l’assureur. Et ce contexte est parti pour durer.