Fortuneo Gold

Fortuneo Fortuneo et les CB virtuelles...

ma carte World Elite physique. Cette carte physique n'a rien à voir avec la carte virtuelle !
à priori oui, cependant il doit y avoir une liaison informatique entre les 2: lorsque j'avais la carte physique fortuneo, j'utilisais la carte virtuelle; j'ai cessé d'utiliser la carte physique, puis en accord avec le service commercial( mail à l'appui) sans avoir de carte physique puisque non renouvellée, j'ai conservé la carte virtuelle; alors même que le numéro virtuel était créé à chaque fois sur l'interface, le paiement était refusé;
Cependant cela ne justifie en rien leur demande;
Je ne comprends pas que chez Fortuneo, il soit impossible d’avoir toujours le même interlocuteur pour ce genre de souci.
là, cest la modernité!!!
 
Oui, et bien que portant sur un faible montant, l'affaire dans son principe est très grave et l'attitude du service client plus que désinvolte, injustifiée et disproportionnée. Dans un tel cas et pour avoir des traces écrites de ton échange avec le SC, il est préférable d'échanger par mail plutôt que par tel de façon à pouvoir les produire si besoin.

A ta place je saisirai le médiateur sans attendre et faute de remboursement, ce serait clôture du compte.
Tout à fait d'accord sur le fait d'échanger par mail plutôt que par téléphone, afin de se ménager des preuves, indispensables en cas de contentieux. Comme je l'ai signalé à maintes reprises sur ce forum, j'ai eu, il y a maintenant une paire d'années, un litige avec FORTUNEO, pour une mauvaise évaluation d'une U.C. découlant d'une erreur caractérisée de la banque ou plutôt de la compagnie d'assurances, erreur que le service clients et même la hiérarchie bancaire n'ont jamais voulu reconnaître formellement. La production des échanges par mail (je ne procède qu'ainsi, dès qu'il y a un problème) a permis d'emporter la conviction du médiateur et d'obtenir le petit remboursement sollicité que l'on ne voulait pas m'accorder, malgré l'évidence de l'erreur commise par le distributeur de l'A.V..
Concernant les échanges par mail chez Fortunéo, on doit reconnaître que la situation du procédé est satisfaisante, puisqu'à chaque envoi, le client reçoit un AR contenant le texte envoyé. A titre de comparaison, ING, chez qui le contact par mail est limité aux seules "vraies" réclamations, (le contact par mail hors réclamations a été supprimé) ne fournit pas le double de l'envoi dans son AR. Encore un moyen de ne pas faciliter la vie du client.
Pour ce qui concerne la saisine du médiateur, je suis d'accord, mais il faut respecter la procédure (prévue dans les conditions générales du produit) et d'abord avoir présenté une réclamation hiérarchique ayant obtenu une réponse défavorable.
 
Je viens à l'instant de déposer un petit dossier à l'Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution.

J'ai bien conscience que ça ne solutionnera sûrement pas mon cas, mais au moins, ils seront au courant des pratiques de fortuneo...
 
C'est inquiétant d'apprendre ça.
J'utilise aussi assez souvent la CB virtuelle de Fortuneo depuis plusieurs années. Je n'ai jamais eu de problème et je ne soupçonnais pas qu'une telle erreur soit possible chez eux.

Et surtout leur refus de traiter le problème....

Merci d'avoir partagé vos déboires avec cette carte, très instructif....
 
Il n'y a aucun manquement de Fortuneo d'après les faits relatés.

Il est important de comprendre que lorsque tu payes, il y a 2 choses:
- Le paiement (l'autorisation)
- Le règlement (la compensation, c'est à dire le moment où le débit passe sur le compte).

En commerce physique, la partie autorisation est facultative, on parle de "hors ligne" grossièrement.
En commerce en ligne, le "hors ligne", c'est à dire l'absence de passage par la case autorisation est acceptée dans certaines conditions.

Dans le cas présent, tu fais une carte avec un plafond de 10€ en autorisation.
Le commerçant débite 9.99€, et annonce clairement dans ses CGV que c'est un abonnement.
Le paiement est donc la première séquence d'une suite dite "itératif", le premier règlement doit se faire avec le cryptogramme, et depuis peu avec le 3DS (mais repoussé sur le côté obligatoire).

A partir de là, la prochaine échéance de l'abonnement, il peut soit repasser par la case "autorisation", mais sera refusé, car plafond atteint ou virtuelle détruite.
Il peut également se dire qu'on a cherché à lui faire une entourloupe (abonnement sans résilier) et donc faire la demande de règlement sans autorisation.

Il est dans son droit, c'est totalement légal, et autorisé. Seule preuve à apporter, c'est que la première transaction a été vérifiée (via cryptogramme), c'est tout, et il doit conserver le même identifiant commerçant.

Dans ton cas, c'est un litige commercial, la virtuelle de Fortuneo n'a rien à voir dans l'opération.
Le commerçant utilise le numéro pour faire la remise de règlement, en s'affranchissant de l'autorisation.
C'est comme quand tu payes en France chez des commerçants avec une carte classique, il n'y a pas d'autorisation (hors ligne), le terminal fera directement la remise de règlement à J+1 par exemple.

Si Fortuneo demande la mise en opposition de la carte physique, c'est pour permettre de rejeter les règlements.
Si la carte physique est toujours active, Fortuneo est obligé par les règles (RTS) d'accepter tous les règlements demandés dès que tu en as donné l'autorisation en amont (via le premier paiement de la séquence).

Tu es dans un litige commercial, tu dois donc te rapprocher du commerçant afin de demander le remboursement, si tu es en droit de le faire, et penser également à résilier l'abonnement mis en place avec lui.

Fortuneo peut techniquement rejeté le règlement, mais ils en seront de leur poche sur les 9.99€ car leur client (toi) a donné l'accord pour une séquence itérative lors du premier règlement et le commerçant a respecté les règles définies par Visa et Mastercard.

Même en montant le dossier ACPR, l'autorité de contrôle ne prendra pas position pour toi.
Déjà car elle ne gère pas les litiges entre clients et établissements, mais également car il n'y a aucune faute.

Il faut comprendre qu'un ordre de paiement est engageant, il faut lire les conditions.
Tu aurais une carte type N26 ou Revolut, l'opération serait passée et si ton compte était à 0, il serait à présent en négatif.

Les commerçants en ligne apprennent à contourner les utilisations de cartes limitées (virtuelles), ou des cartes désactivées après utilisation (blocage temporaire ou désactivation des paiements à distance).
Quand par la méthode classique (autorisation) l'opération échoue, ils utilisent leur droit à passer directement par le règlement car tu as donné ton accord par les conditions du site concerné et que ce dernier a satisfait toutes les obligations légales pour la première opération d'une séquence.

Prend contact avec le commerçant, cherche une solution avec lui pour régler le litige, et en parallèle, pour résilier ton offre souscrite. Il sera peut être disposé à rembourser les 9.99€.
La résiliation auprès du commerçant est la seule option que tu as, vu que tu ne désirer pas opposer ta carte physique pour empêcher les mises en règlement.
 
Il n'y a aucun manquement de Fortuneo d'après les faits relatés.

Il est important de comprendre que lorsque tu payes, il y a 2 choses:
- Le paiement (l'autorisation)
- Le règlement (la compensation, c'est à dire le moment où le débit passe sur le compte).

En commerce physique, la partie autorisation est facultative, on parle de "hors ligne" grossièrement.
En commerce en ligne, le "hors ligne", c'est à dire l'absence de passage par la case autorisation est acceptée dans certaines conditions.

Dans le cas présent, tu fais une carte avec un plafond de 10€ en autorisation.
Le commerçant débite 9.99€, et annonce clairement dans ses CGV que c'est un abonnement.
Le paiement est donc la première séquence d'une suite dite "itératif", le premier règlement doit se faire avec le cryptogramme, et depuis peu avec le 3DS (mais repoussé sur le côté obligatoire).

A partir de là, la prochaine échéance de l'abonnement, il peut soit repasser par la case "autorisation", mais sera refusé, car plafond atteint ou virtuelle détruite.
Il peut également se dire qu'on a cherché à lui faire une entourloupe (abonnement sans résilier) et donc faire la demande de règlement sans autorisation.

Il est dans son droit, c'est totalement légal, et autorisé. Seule preuve à apporter, c'est que la première transaction a été vérifiée (via cryptogramme), c'est tout, et il doit conserver le même identifiant commerçant.

Dans ton cas, c'est un litige commercial, la virtuelle de Fortuneo n'a rien à voir dans l'opération.
Le commerçant utilise le numéro pour faire la remise de règlement, en s'affranchissant de l'autorisation.
C'est comme quand tu payes en France chez des commerçants avec une carte classique, il n'y a pas d'autorisation (hors ligne), le terminal fera directement la remise de règlement à J+1 par exemple.

Si Fortuneo demande la mise en opposition de la carte physique, c'est pour permettre de rejeter les règlements.
Si la carte physique est toujours active, Fortuneo est obligé par les règles (RTS) d'accepter tous les règlements demandés dès que tu en as donné l'autorisation en amont (via le premier paiement de la séquence).

Tu es dans un litige commercial, tu dois donc te rapprocher du commerçant afin de demander le remboursement, si tu es en droit de le faire, et penser également à résilier l'abonnement mis en place avec lui.

Fortuneo peut techniquement rejeté le règlement, mais ils en seront de leur poche sur les 9.99€ car leur client (toi) a donné l'accord pour une séquence itérative lors du premier règlement et le commerçant a respecté les règles définies par Visa et Mastercard.

Même en montant le dossier ACPR, l'autorité de contrôle ne prendra pas position pour toi.
Déjà car elle ne gère pas les litiges entre clients et établissements, mais également car il n'y a aucune faute.

Il faut comprendre qu'un ordre de paiement est engageant, il faut lire les conditions.
Tu aurais une carte type N26 ou Revolut, l'opération serait passée et si ton compte était à 0, il serait à présent en négatif.

Les commerçants en ligne apprennent à contourner les utilisations de cartes limitées (virtuelles), ou des cartes désactivées après utilisation (blocage temporaire ou désactivation des paiements à distance).
Quand par la méthode classique (autorisation) l'opération échoue, ils utilisent leur droit à passer directement par le règlement car tu as donné ton accord par les conditions du site concerné et que ce dernier a satisfait toutes les obligations légales pour la première opération d'une séquence.

Prend contact avec le commerçant, cherche une solution avec lui pour régler le litige, et en parallèle, pour résilier ton offre souscrite. Il sera peut être disposé à rembourser les 9.99€.
La résiliation auprès du commerçant est la seule option que tu as, vu que tu ne désirer pas opposer ta carte physique pour empêcher les mises en règlement.


Un grand merci pour cette explication claire... J'aurais tant aimé avoir ce genre d'explication de la part de Fortuneo. Ca aurait au moins eu le mérite d'éviter de me braquer...

Depuis mes déboires, j'ai contacté le commerçant qui m'a rapidement répondu, et m'a annoncé effectuer le remboursement des 9,99 euros, et faire le nécessaire pour qu'il n'y ait pas d'autres prélèvements.

Mais je me pose quand même des questions sur l'utilité de la CB virtuelle... On lui attribue un plafond et une date d'échéance, mais ça n'interdit pas aux commerçant d'effectuer des retraits futurs, avec des montants dépassant le plafond, et avec des dates d'échéance dépassées. En gros, j'achète un bouquin sur le site A. avec une CB de montant maxi 20 euros. Rien ne me certifie que le commerçant A, s'il est indélicat, n'effectuera pas un débit dans 3 mois pour un montant de 30 euros... C'est un peu limite comme système de sécurité...
 
Un grand merci pour cette explication claire... J'aurais tant aimé avoir ce genre d'explication de la part de Fortuneo. Ca aurait au moins eu le mérite d'éviter de me braquer...

Depuis mes déboires, j'ai contacté le commerçant qui m'a rapidement répondu, et m'a annoncé effectuer le remboursement des 9,99 euros, et faire le nécessaire pour qu'il n'y ait pas d'autres prélèvements.

Mais je me pose quand même des questions sur l'utilité de la CB virtuelle... On lui attribue un plafond et une date d'échéance, mais ça n'interdit pas aux commerçant d'effectuer des retraits futurs, avec des montants dépassant le plafond, et avec des dates d'échéance dépassées. En gros, j'achète un bouquin sur le site A. avec une CB de montant maxi 20 euros. Rien ne me certifie que le commerçant A, s'il est indélicat, n'effectuera pas un débit dans 3 mois pour un montant de 30 euros... C'est un peu limite comme système de sécurité...
Pour expliquer la situation et justifier la position de Fortunéo, Benoit indique ou sous-entend que les 9.99 € litigieux correspondaient à la première échéance d'un abonnement, ce qui n'était pas précisé dans ton signalement et qui pourrait changer un peu la donne. Est-ce bien le cas ou s'agissait-il d'une opération isolée ?
Dans tous les cas, il me semble que le service clients a failli à son obligation d'information et de conseil qui vous aurait permis de comprendre et d'agir utilement en conséquence.
Pour ce qui concerne l'ACPR, je n'ai jamais dit qu'elle avait vocation à régler les litiges entre banques et clients. Le médiateur est fait pour ça. Par contre, en tant qu'autorité de contrôle des banques, elle est compétente pour recevoir les signalements de comportements anormaux des banques, ce qui peut être le cas, en l'espèce, au moins au niveau de la réaction du service clients face à vos interventions. Son site l'explique clairement.
Enfin et même si les incidents sont rares, on peut quand même s'interroger sur la sécurité des cartes virtuelles qu'on présente souvent comme la solution parfaite ou presque. A quoi sert en effet d'autoriser un montant de paiement maximum et une date limite de vie de la carte, si le commerçant peut passer outre, sans difficultés majeures ?
Les autorités bancaires et les pouvoirs publics auront peut-être à s'intéresser à cette faiblesse de sécurisation.
Cdt
 
Le commerçant débite 9.99€, et annonce clairement dans ses CGV que c'est un abonnement.
Bonjour, si il s'agit de cela, c'est le demandeur qui est en faute,voir qui peut être accusé de tentative de fraude, puisqu'un abonnement est soucrit, tout en sachant que le moyen de paiement utilisé est hors de validité.. si c'est cela l'histoire, pas besoin de grandes phrases.
 
Dernière modification:
Depuis mes déboires, j'ai contacté le commerçant qui m'a rapidement répondu, et m'a annoncé effectuer le remboursement des 9,99 euros, et faire le nécessaire pour qu'il n'y ait pas d'autres prélèvements.

Problème résolu finalement, et remboursement, c'est une fin heureuse.

Mais je me pose quand même des questions sur l'utilité de la CB virtuelle... On lui attribue un plafond et une date d'échéance, mais ça n'interdit pas aux commerçant d'effectuer des retraits futurs, avec des montants dépassant le plafond, et avec des dates d'échéance dépassées. En gros, j'achète un bouquin sur le site A. avec une CB de montant maxi 20 euros. Rien ne me certifie que le commerçant A, s'il est indélicat, n'effectuera pas un débit dans 3 mois pour un montant de 30 euros... C'est un peu limite comme système de sécurité...

Un commerçant qui demande un contrat pour accepter les cartes doit déclarer l'usage qu'il va en faire.
Un code activé bancaire lui est assigné, un peu comme un code APE mais dédié aux transactions cartes.
Seuls ceux ayant un code activité spécifique peuvent pratiquer cet usage, ce n'est pas le cas d'Amazon par exemple qui doit toujours passer par la case autorisation.
Les usages "abonnements" sont encadrés, et les commerçants sont de plus en plus à l'aise avec le fait de passer outre les autorisations, c'est même vendu par certains prestataires techniques comme un service permettant d'éviter les impayés.

Une virtuelle chez Fortuneo ne va pas fonctionner comme une virtuelle chez Société Générale.
Par exemple chez Fortuneo, tu peux faire une virtuelle qui fonctionnera pour Amazon et Amazon Market Place, qui sont techniquement 2 commerçants différents. Alors qu'une virtuelle (eCarte Bleue) chez Société Générale ne fonctionnera pas pour un débit Market Place si le numéro a été utilisé sur Amazon France.
Fortuneo ne bloque pas l'usage à 1 commerçant, eCB bloque l'usage à 1 commerçant précis.
Les règles changent d'une banque à l'autre avec des avantages et des inconvénients. Amazon est un exemple d'inconvénients en eCB, et un avantage en virtuelle Fortuneo.

Spotify, Netflix, Deezer, Apple,... eux ne pratiquent pas le bypass de l'autorisation, car au pire ils coupent le service. Mais certains commerçants préfèrent contourner... tant qu'ils sont dans leur droit, on ne peut pas s'opposer à leur pratique, et souvent ce sont des commerçants "confidentiels".

Dans tous les cas, il me semble que le service clients a failli à son obligation d'information et de conseil qui vous aurait permis de comprendre et d'agir utilement en conséquence.

Je n'irai pas jusqu'à dire "faillir", c'est compliqué le bancaire, et il est demandé une polyvalence aux agents qui assurent les appels. Cette polyvalence empêche de maîtriser tous les sujets.
Les Back Office sont moins réactifs aussi, c'est un peu l'idée de la banque en ligne, un centre de réception des appels, et un dispositif d'escalade par ticket.

Pour ce qui concerne l'ACPR, je n'ai jamais dit qu'elle avait vocation à régler les litiges entre banques et clients. Le médiateur est fait pour ça. Par contre, en tant qu'autorité de contrôle des banques, elle est compétente pour recevoir les signalements de comportements anormaux des banques, ce qui peut être le cas, en l'espèce, au moins au niveau de la réaction du service clients face à vos interventions. Son site l'explique clairement.

J'ai préféré rappelé le fonctionnement de l'ACPR. Mais d'un autre côté, l'autorité est un peu comme la CNIL. Elle enregistre les plaintes, mais il n'y a pas de contrôle pour un dossier envers un établissement.

Enfin et même si les incidents sont rares, on peut quand même s'interroger sur la sécurité des cartes virtuelles qu'on présente souvent comme la solution parfaite ou presque. A quoi sert en effet d'autoriser un montant de paiement maximum et une date limite de vie de la carte, si le commerçant peut passer outre, sans difficultés majeures ?

Il y a une difficulté, il faut que le contrat du commerçant autorise une telle pratique. Par conséquent, son activité principale doit être en lien avec un mécanisme de récurrence, comme un abonnement, ou forme d'abonnement.

Les autorités bancaires et les pouvoirs publics auront peut-être à s'intéresser à cette faiblesse de sécurisation.

Cela en reviendrait à faire de l'ingérence, et ce n'est jamais bien perçu. Exemple avec les opérations vers des plateformes pour le crypto monnaie.

Bonjour, si il s'agit de cela, c'est le demandeur qui est en faute,voir qui peut être accusé de tentative de fraude, puisqu'un abonnement est soucrit, tout en sachant que le moyen de paiement utilisé est hors de validité.. si c'est cela l'histoire pas besoin de grandes phrases.

Le porteur est en droit de s'étonner qu'une transaction passe, surtout que parfois les procédures de résiliations ont vocations à freiner la demande, exemple avec la presse en ligne qui demande un RAR pour interrompre l’abonnement souscrit en ligne.
 
Problème résolu (en partie) pour moi, avec le remboursement des 9,99 euros par le commerçant. (Même si, pour moi, le fond du problème n'était pas la somme, mais le comportement de la banque vis à vis de son client)

En fait, j'avais souscrit à un statut "premium" pour 3 mois sur le site Geocaching. Sauf que ma demande de non reconduction automatique n'a apparemment pas été enregistrée. Ce qui en effet, peut être considéré comme un "abonnement". Mais bon... sur le fond, je trouve toujours ça moyen de passer outre une CB périmée...
Ca m'est arrivé une fois avec Netflix. Le crédit que j'avais alloué à la CB était dépassé, et Netflix a tout simplement suspendu mon abonnement en me prévenant...

Merci à tous pour vos éclaircissements. Je reviendrai quand même vers vous si j'ai un retour de la part de Fortuneo pour des explications supplémentaires.
 
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