Financement participatif MultiWin Plan

Ah Ah, oui, nul doute que nous avons tous le même avis.
cBanque étant un site de référence (j'ai déjà eu l'occasion de raconter comment certains banquiers parmi mes clients m'ont dit "c'est vrai, car c'est ce que j'ai lu sur cBanque"), j'espère surtout que de potentiels souscripteurs éviteront de tomber dans le panneau.

Et en ce qui concerne le "diamant", et bien c'est officiellement prévu, puisque le PDG a annoncé il y a peu qu'une version spéciale en association avec Swarovski est prévue. Tu vois, la réalité dépasse la fiction o_O
 
Si les dernières nouvelles qui tournent sur Facebook concernant l'intervention de la PJ d'Annecy et l'appréhension des promoteurs de Multiwin sont exactes, c'en est cette fois bel et bien fini des promesses mirobolantes de richesse grâce à ce concept fumeux...

C'est pas faute d'avoir prévenu...
 
Si les dernières nouvelles qui tournent sur Facebook concernant l'intervention de la PJ d'Annecy et l'appréhension des promoteurs de Multiwin sont exactes, c'en est cette fois bel et bien fini des promesses mirobolantes de richesse grâce à ce concept fumeux...

(y) Merci pour la veille LMDP. ;)

"Créée il y a à peine trois ans à Sophia-Antipolis, Rifft, une start-up qui compte une vingtaine de salariés avait le vent en poupe. Du moins jusqu’à ce que son patron se fasse interpeller la semaine dernière. Après 48 heures de garde à vue, Lucas Goreta, le p.-d.g. de Rifft, a été transféré au tribunal d’Annecy où il a été mis en examen pour escroquerie et placé en détention provisoire."

Une start-up de Sophia-Antipolis aurait escroqué des milliers de donateurs
 
Dernière modification:
:biggrin: Et une petite pensée pour badabel & consors... :ROFLMAO:
Je me suis inscrite très récemment pour pouvoir commenter, je ne recrute personne...et surtout pas ici vu le niveau...c'est le doctissimo de la finance ce forum!
On peut effectivement penser que toute la presse spécialisée se plante, que le buzz mondial n'est qu'une prévision de gros flop commercial...c'est tout à fait cohérent. Pour ceux qui auraient lu le document du ministère des finances, on peut clairement lire en page 35 que RIFFT a réussi déjà une belle campagne de crowdfunding...mais là encore, c'est des amateurs au ministère. Pareil pour la CCI, et certainement pour la BPI...des gens mal formés qui racontent n'importe quoi...
Je m'étais plutôt dit que des gens aussi bien informés que vous seraient intéressés par des infos qui ne sont pas arrivées jusque là. On les trouve sur google ceci-dit...
L'investisseur lambda n'est pas forcément béta, j'en connais pas mal pour avoir eu un portefeuille client assez bien rempli...mais c'est vrai que le ticket d'entrée n'était pas de 125€ ou pire 250€! On était plus sur du 15 000. Éventuellement même sur des fonds indisponibles et bizarrement, alors qu'on parle d'UC assez risquées, ça souscrivait! C'est fou ce qu'un investissement de 250€ peut effrayer!
Alors, un ponzi ne vit que grâce aux contributions des membres qui rentrent en dessous. On en est loin car il n'y a aucune obligation de parrainage...dossier classé.
Je comprends que vous soyez des bénévoles en quête d'informations pour prévenir vos membres d'éventuelles arnaques, mais renseignez-vous vraiment à ce moment là!
Je ne cherche pas à vous convaincre, simplement à essayer d'avoir un discours objectif, là c'est soit de la désinformation, soit de la mauvaise foi.
 
(y) Merci pour la veille LMDP. ;)

"Créée il y a à peine trois ans à Sophia-Antipolis, Rifft, une start-up qui compte une vingtaine de salariés avait le vent en poupe. Du moins jusqu’à ce que son patron se fasse interpeller la semaine dernière. Après 48 heures de garde à vue, Lucas Goreta, le p.-d.g. de Rifft, a été transféré au tribunal d’Annecy où il a été mis en examen pour escroquerie et placé en détention provisoire."

Une start-up de Sophia-Antipolis aurait escroqué des milliers de donateurs

oui mais ce sont des débutants à coté de
La SEC, le gendarme boursier américain, a accusé mercredi Theranos, sa dirigeante-fondatrice Elizabeth Holmes et son ancien président Ramesh Balwani, d'être parvenus à lever «plus de 700 millions de dollars auprès d'investisseurs au travers d'une fraude élaborée qui a duré plusieurs années, pendant lesquelles ils ont exagéré ou menti à propos de la technologie, des activités et des performances financières de l'entreprise» de biotechnologie
 
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