Bonjour à toutes et à tous,
Mon amie a souscrit un prêt immobilier pour s'acheter un appartement. Le délai de réflexion de dix jours expiré le 25 mars, et elle était censé signer l'acte authentique chez le notaire ce jour.
Cependant, elle a reçue hier un appel de sa banque lui indiquant qu'elle (la banque) avait commise une erreur dans l'offre de prêt, à priori portant sur un mauvais numéro de dossier. La banque doit donc rééditer son offre, simplement pour changer ce numéro qui n'a concrétement aucune conséquence sur le prêt en lui même. De fait, elle a indiqué qu'un nouveau délai de réflexion de dix jours devait être respecté.
Le problème est que mon amie avait tout organiser pour déménager dès le 08 mars. Elle va donc se retrouver à la rue, ou plutôt à devoir trouver une solution d'hébergement, sans compter de devoir déménager ses meubles dans un garde meuble en attendant de pouvoir s'installer dans son appartement.
Considérant que le délai de réflexion de dix jours à pour vocation de protéger l'emprunter, je trouve très fort de la part de la banque de réimposer ce délai en conséquence d'une erreur qui lui est propre, d'autant plus que le premier avait été respecté. A minima, si ce délai ne peut être évité, la banque ne devrait-elle pas dédommager mon amie pour la situation délicate dans laquelle elle la place ?
Vous remerciant par avance pour vos conseils,
Kévin
Mon amie a souscrit un prêt immobilier pour s'acheter un appartement. Le délai de réflexion de dix jours expiré le 25 mars, et elle était censé signer l'acte authentique chez le notaire ce jour.
Cependant, elle a reçue hier un appel de sa banque lui indiquant qu'elle (la banque) avait commise une erreur dans l'offre de prêt, à priori portant sur un mauvais numéro de dossier. La banque doit donc rééditer son offre, simplement pour changer ce numéro qui n'a concrétement aucune conséquence sur le prêt en lui même. De fait, elle a indiqué qu'un nouveau délai de réflexion de dix jours devait être respecté.
Le problème est que mon amie avait tout organiser pour déménager dès le 08 mars. Elle va donc se retrouver à la rue, ou plutôt à devoir trouver une solution d'hébergement, sans compter de devoir déménager ses meubles dans un garde meuble en attendant de pouvoir s'installer dans son appartement.
Considérant que le délai de réflexion de dix jours à pour vocation de protéger l'emprunter, je trouve très fort de la part de la banque de réimposer ce délai en conséquence d'une erreur qui lui est propre, d'autant plus que le premier avait été respecté. A minima, si ce délai ne peut être évité, la banque ne devrait-elle pas dédommager mon amie pour la situation délicate dans laquelle elle la place ?
Vous remerciant par avance pour vos conseils,
Kévin