bonsoir à tous,
Un avocat bancaire me donne un excellent conseil pour combattre l'argument employé par les banques,pour qui un client ,meme profane, aurait pu se rendre compte lui même d'une erreur de calcul sur son teg, dans le délai habituel de 5 ans au jour de la signature.
Sur un taux d'interet nominal variable, les banques avaient, en mai 2008, signé une charte dite "12 engagements des établissements de crédit en matière de taux variable".
Le but de cette charte étant d'informer l’emprunteur sur les tenants et aboutissants d'un choix porté sur le taux variable .
Il est vrai que ce genre de taux peut être pénalisant si l'on ne prend pas de précaution contractuelle, l'histoire l'a montré.
Il se trouve que très peu de banques ont joué '' le jeu" et, qu'ainsi on peut leur reprocher de ne pas avoir correctement informé le client.
Le client, assignant sa banque, peut donc se dire avoir été imparfaitement conseillé et dans l'incapacité de se convaincre de part lui même de l'erreur mentionnée sur son offre de crédit, entres autres.
il est évident qu'un crédit vieux de plus de 5 ans prend le risque de cette irrecevabilité due à la dite prescription ,mais c'est à la banque de prouver que le client était en mesure de déceler l'erreur.
Les irrégularités sur le calcul des intérêts sur 360 jours et sur l'omission du taux de période sont des problèmes de droit formel, n'impliquant aucun calcul mathématique et à ce titre ne peuvent être contestés que dans le strict cadre des 5 années à compter de la conclusion du crédit
je serai ravi de connaitre l'avis des gens compétents que cela intéresse.
cordialement
tom
Un avocat bancaire me donne un excellent conseil pour combattre l'argument employé par les banques,pour qui un client ,meme profane, aurait pu se rendre compte lui même d'une erreur de calcul sur son teg, dans le délai habituel de 5 ans au jour de la signature.
Sur un taux d'interet nominal variable, les banques avaient, en mai 2008, signé une charte dite "12 engagements des établissements de crédit en matière de taux variable".
Le but de cette charte étant d'informer l’emprunteur sur les tenants et aboutissants d'un choix porté sur le taux variable .
Il est vrai que ce genre de taux peut être pénalisant si l'on ne prend pas de précaution contractuelle, l'histoire l'a montré.
Il se trouve que très peu de banques ont joué '' le jeu" et, qu'ainsi on peut leur reprocher de ne pas avoir correctement informé le client.
Le client, assignant sa banque, peut donc se dire avoir été imparfaitement conseillé et dans l'incapacité de se convaincre de part lui même de l'erreur mentionnée sur son offre de crédit, entres autres.
il est évident qu'un crédit vieux de plus de 5 ans prend le risque de cette irrecevabilité due à la dite prescription ,mais c'est à la banque de prouver que le client était en mesure de déceler l'erreur.
Les irrégularités sur le calcul des intérêts sur 360 jours et sur l'omission du taux de période sont des problèmes de droit formel, n'impliquant aucun calcul mathématique et à ce titre ne peuvent être contestés que dans le strict cadre des 5 années à compter de la conclusion du crédit
je serai ravi de connaitre l'avis des gens compétents que cela intéresse.
cordialement
tom