Bonjour d'un nouveau

Pour le crédit, j'avais effectivement pensé à nantir une AV que je toucherai pas, le complément de retraite étant apporté par les recettes locatives.
Encore faut-il que les recettes locatives soient supérieures aux mensualités du crédit
 
J'ai pas d'AV, ni PEA ouvert, donc je sais que l'argent que je mettrai sur l'AV sera bloquée, ce sera d'ailleurs ma garantie pour le crédit. Emprunter une somme d'argent que l'on a déjà devrait faciliter le travail du banquier dans sa stratégie de minimisation des risques liés à mon âge et à la santé qui va avec.
Savez-vous vers quelles banques se tourner en priorité ?
 
Non pas de droits retraite à l'étranger. C'était pas l'UE et j'étais mon patron. J'ai bien vécu mais pas cotisé pour ma retraite.
 
Je n'ai pas d'AV (ni de PEA ouvert), donc je sais que l'argent que je mettrai sur l'AV sera bloqué, ce sera d'ailleurs ma garantie pour le crédit.
Une assurance ne se trouve pas bloquée, sauf si vous accordez un nantissement de son contenu, en contre partie d'un prêt, ce que vous ne me semblez en situation de DEVOIR faire

Emprunter une somme d'argent que l'on a déjà devrait faciliter le travail du banquier dans sa stratégie de minimisation des risques liés à mon âge et à la santé qui va avec.
Savez-vous vers quelles banques se tourner en priorité ?
Je crois sous-entendre qu'il risque d'y avoir quelques difficultés avec un questionnaire médical ...

Mais d'un autre côté, vous indiquez être proprio d'une résidence secondaire complètement payée ; il vous est donc possible de recourir à un emprunt hypothécaire sur ce bien, ce qui ne nécessite plus alors aucune formalité d'assurance du prêt sollicté, puisque le bien existe, et qu'il est libre de garantie hypothécaire ...

Je pense donc que cela vous permettrait :
- d'ouvrir un contrat AV, qui vous rapporterait un certain rendement, et à raison de rachats partiels mesurés, vous constituerait un complément de revenus
- d'obtenir un prêt hypothécaire de la part d'une banque, permettant l'achat d'un bien locatif proche de votre actuelle résidence secondaire, que vous destinez à une LMNP ..., bien qui vous rapportera en premier lieu de faibles revenus nets, puisqu'il y aura faculté de déduction des intérêts en sus des autres charges locatives déductibles ...
 
Je ne crois pas qu'il y ait un risque médical majeur, j'ai de l'hypertension soignée depuis une vingtaine d'années et un peu de diabète, des gens de mon âge ou plus jeunes hélas sont davantage atteints.
J'ai par contre lu un peu partout que le crédit, passé 60 ans, est très difficile à obtenir surtout à cause de l'assurance santé.
Pratiquement, je pourrais me passer de ce crédit, mais cela impacterait la rentabilité de la future location meublée faute de déduire les intérêts d'emprunt.
Je pensais amener une AV en garantie, AV sur laquelle je ne ferais aucun retrait avant 8 années puisque pas intéressant au vu de la législation/fiscalité actuelle. Et seulement après des petits retraits si besoin.
L'emprunt hypothécaire sur la maison j'y avais pas pensé, je sais pas trop ce que c'est à vrai dire et les éventuelles contraintes que ça implique, je vais aller à la pêche au renseignement. Merci.
 
Je ne crois pas qu'il y ait un risque médical majeur, j'ai de l'hypertension soignée depuis une vingtaine d'années et un peu de diabète, des gens de mon âge ou plus jeunes hélas sont davantage atteints.
J'ai par contre lu un peu partout que le crédit, passé 60 ans, est très difficile à obtenir surtout à cause de l'assurance santé.
On va dire qu'un assureur, c'est tout sauf un philanthrope, et le premier risque contre lequel il se protège, c'est l'âge ; et plus on avance en âge, et plus cela devient difficile d'obtenir un crédit sur une durée moyenne même raisonnable ...

Le second risque contre lequel il se protège, ce sont les risques médicaux, et c'est la raison pour laquelle ils vous font remplir un questionnaire médical, avec lequel il faut être hyper prudent ....

Perso, et lorsque (voici quelques années) cela m'arrivait, je le complétais avec le concours de mon médecin traitant, et s'il y avait difficulté sur le sujet, ils s'expliquaient entre médecins (le mien et celui de la compagnie d'assurances ...) ; au final, et au fil du temps, cela conduisait à des surprimes pour risque médical aggravé (comme ils disent), et une hypertension artérielle (même légère) et/ou un diabète non insulino-dépendant (même bien traité), cela vous fait passer directement dans une case à surprime ; et aussi bien la prime que la surprime d'assurance, c'est une charge non récupérable ...

C'est la raison pour laquelle, je considère que passé l'âge de la retraite (le vôtre), s'il y a une économie à faire, c'est d"avoir recours à un emprunt hypothécaire, surtout lorsque l'on vise un prêt dont le montant est largement inférieur à la valeur du bien nouvellement hypothéqué ...., ce qui semblerait être le cas de votre projet ...

Pratiquement, je pourrais me passer de ce crédit, mais cela impacterait la rentabilité de la future location meublée faute de déduire les intérêts d'emprunt.
Effectivement, et dans le cadre d'une activité de location immobilière, c'est une charge déductible du résultat imposable ; alors dans les conditions actuelles, et les taux étant à un bas niveau, autant en profiter pour emprunter le plus possible ....

Je pensais amener une AV en garantie, AV sur laquelle je ne ferais aucun retrait avant 8 années puisque pas intéressant au vu de la législation/fiscalité actuelle.
Et pratiquer seulement après ce délai des petits retraits si besoin.
Une fois le bien nanti (l'assurance vie), on va dire que vous allez être handicapé dans sa gestion quotidienne, plus de faculté de procéder à des rachats, même minimes ; plus la possibilité de changer de bénéficiaires, etc ...

L'emprunt hypothécaire sur la maison j'y avais pas pensé, je sais pas trop ce que c'est à vrai dire et les éventuelles contraintes que ça implique, je vais aller à la pêche au renseignement. Merci.
Alors bonne pêche, mais ....

En gros, le prêteur de deniers va prendre une garantie réelle sur un bien immobilier que vous détenez en toute propriété, et sur lequel il n'existe pas (ou plus) de garantie réelle comme une hypothèque ancienne ; alors en pratique, et en cas de décès avant le remboursement intégral du prêt sollicité, il resterait un capital restant dû résiduel, en le prêteur de denier viendrait se rembourser auprès de vos héritiers (donc vos enfants) ; une fois le prêt complètement remboursé, vos héritiers disposeront d'un droit sur votre patrimoine comprenant sous forme immobilière, votre future résidence principale ainsi qu'un bien locatif probablement en cours de bail ....
 
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Bonjour,

j'apporte ma modeste contribution à cette discussion:

l'emprunt après 60 ans ne pose aucun problème, j'ai moi même souscrit un prêt immobilier sur 15 ans et un complémentaire sur 20 ans, soit jusqu'à mes 80 ans.....

la vrai difficulté c'est l'assurance

et ce n'est pas avec un crédit hypothécaire que vous échapperez à cette problématique de l'assurance.

je fais des prêts hypothécaires pour certains de mes clients et les banques demandent toujours l'assurance emprunteur sur le risque décès.
Pourquoi ? tout simplement pour éviter un recours pour défaut de conseil en cas de décès de l'emprunteur et qui laisserait alors la charge de l'emprunt sur les héritiers.

et concernant les assurances on peut couvrir jusqu'aux 90 ans de l'emprunteur.
du reste je n'ai eu aucun problème pour mon assurance jusqu'à mes 80 ans avec un taux à 0.50% sur capital emprunté (en délégation d'assurance bien sur)

par contre hypertension + diabète, là cela va devenir plus compliqué.

l'assurance spécialisée pour les diabétiques peut à la rigueur vous sortir d'affaire.....
c'est le seul contrat mis en place avec la fédération française des disabétiques
le lien: assurance diabétiques

c'est un peu lourd comme procédure mais très efficace....

bien cordialement
 
la vrai difficulté c'est l'assurance
et ce n'est pas avec un crédit hypothécaire que vous échapperez à cette problématique de l'assurance.
Assurer le risque décès soit, mais avec une situation médicale qui risque de le provoquer plus tôt que prévu par la statistique des survivants, c'est autre chose ...

et concernant les assurances on peut couvrir jusqu'aux 90 ans de l'emprunteur.
du reste je n'ai eu aucun problème pour mon assurance jusqu'à mes 80 ans avec un taux à 0.50% sur capital emprunté (en délégation d'assurance bien sur)
Oui, mais cela, c'est pour un pratiquant qui veut se préparer à une sélection quasi olympique ....;)

par contre hypertension + diabète, là cela va devenir plus compliqué.

l'assurance spécialisée pour les diabétiques peut à la rigueur vous sortir d'affaire.....
c'est le seul contrat mis en place avec la fédération française des diabétiques
le lien: assurance diabétiques
Oui, et c'est bien la problématique de notre candidat à l'emprunt ....
Et s'il ne prenait pas sa petite pilule ou ses cachetons ???

Heureusement, on ne parle pas encore d'insuline ; quoique avec une insuline bien régulée, c'est également très efficace, pour le traitement !!
Mais pas pour la prime d'assurance ...:cool:

Combien la glycémie au réveil, et combien la tension juste avant ce réveil ??

Alors, et même si c'est lourd à mettre en place, c'est une piste à ne pas écarter ....

J'avais effectivement consulté une pub dans la salle d'attente d'un toubib ....
 
Dernière modification:
Au niveau des tarifs, ce contrat est très performant
j'ai couvert un client, 28 ans, appareillé avec pompe à insuline, il avait juste du diabète, et nous avons eu une tarification à 0.24 %
en gros le tarif standard des contrats banques.
ce qui pour moi est déjà une performance remarquable
 
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