Pareil. On m'a déroulé un tapis rouge pour acheter des parts à l'époque parce qu'il n'y avait plus d'acheteur... et beaucoup de vendeurs, à commencer par les successions dont les héritiers veulent récupérer le capital et qui ne pouvaient pas le faire.Oui je l'ai connu et vécu en matière d'habitation: il faut dire que le bàtiment tournait à plein régime au début des années 90.
Puis l'immobilier d'habitation a stagné près de 10 ans avant de se mettre à remonter.
En revanche, durant cette période je ne sais pas si l'immobilier de bureau, commerce et entrepôt a connu la même évolution.
Oui, pour les nouveaux entrants! Pour ceux qui sont scotchés avec leurs parts, c'est l'angoisse. Leur rendement est basé sur leur prix d'achat, mais ils constatent que leur capital a fondu. L'un ne compense pas l'autre.Une lueur d'espoir alors ? Si le prix de l'immobilier baisse et les revenus se maintiennent, cela signifierait que le rendement augmente ?
Qui lit les prospectus? Quand je vois le genre de questions posées sur les forums de Cbanque, je suis sûr que beaucoup ne lisent pas les documents.Vous avez raison mais dans l'ensemble les prospectus mettent bien en garde contre l'éventualité d'une perte en capital.
Qu'est-ce que l'on retient? Le rendement, et biimmm, on fonce parce que l'on va faire du 4,5% avec sans doute une petite PV chaque année.. L'immobilier c'est sûr, le commercial l'a affirmé. Et puis, la pierre, c'est dans l'ADN du Français.
J'avais vu une belle pub d'un organisme digne de confiance qui vantait ainsi l'achat de parts de scpi et la présentait comme le remplaçant normal, et mieux rémunéré, des fonds euros. J'aurais du faire un copié/collé et la garder.
Oui, bien sûr. ici nous le savons.Remplacer ses fonds en euros par des SCPI serait une pure hérésie.
Oui, bien sûr. ici......La règle d'or demeure d'actualité: "ne pas mettre tous ses oeufs..... "