Bonjour
Je vais signer dans quelques jours le compromis pour l'achat d'un appartement et j'emprunte environ 200ke sur 20 ans, je suis seule (39 ans), célibataire, cadre dans un grand groupe avec plus de 12 ans d'ancienneté dans cette société.
Je me pose la question vis à vis d'un arrêt de travail de mai à Septembre cette année pour épuisement/burn out... sans traitement (juste du stresam au besoin) et beaucoup de repos.
A la question standard du questionnaire de santé "avez vous été en arrêt de travail plus de 30 jours dans les 5 dernières années? " je me vois difficilement répondre Non.
Or aujourd'hui, personne n'est capable de m'évaluer l'impact que cet arrêt peut avoir: surprime, exclusion ou même refus de garantie...?!
Par ailleurs je bénéficie via mon employeur d'une prévoyance qui me garantit le maintien de mon salaire à 100% pendant un an puis à 90% jusqu'à 3 ans en cas d'arrêt de travail.
Mon médecin et quelques amis me conseillent de ne pas en faire mention, et donc de répondre Non, puisque dans le cas (très peu probable d'un nouvel arrêt car je suis sortie d'affaire ;-) ) je ne bénéficierais pas de la couverture par l'assurance ayant par ailleurs un maintien de salaire par ma prévoyance....
Bref je cogite et j'angoisse un peu du risque que je prends à être honnête...
- quel peut être l'impact de déclarer cet arrêt de travail?
- y a t il un risque de me voir refuser l'assurance, et donc le prêt, du fait de cet arrêt?
- dans l'hypothèse où je ferais abstraction de ma conscience, et que je ne le déclarerai pas, quel est le risque encouru (hors le refus de me couvrir pour un hypothétique prochain arrêt de travail puisque de toutes façons l'assurance ne me couvrirait pas du fait de mon maintien de salaire...)?
Vous remerciant très chaleureusement par avance!
Je vais signer dans quelques jours le compromis pour l'achat d'un appartement et j'emprunte environ 200ke sur 20 ans, je suis seule (39 ans), célibataire, cadre dans un grand groupe avec plus de 12 ans d'ancienneté dans cette société.
Je me pose la question vis à vis d'un arrêt de travail de mai à Septembre cette année pour épuisement/burn out... sans traitement (juste du stresam au besoin) et beaucoup de repos.
A la question standard du questionnaire de santé "avez vous été en arrêt de travail plus de 30 jours dans les 5 dernières années? " je me vois difficilement répondre Non.
Or aujourd'hui, personne n'est capable de m'évaluer l'impact que cet arrêt peut avoir: surprime, exclusion ou même refus de garantie...?!
Par ailleurs je bénéficie via mon employeur d'une prévoyance qui me garantit le maintien de mon salaire à 100% pendant un an puis à 90% jusqu'à 3 ans en cas d'arrêt de travail.
Mon médecin et quelques amis me conseillent de ne pas en faire mention, et donc de répondre Non, puisque dans le cas (très peu probable d'un nouvel arrêt car je suis sortie d'affaire ;-) ) je ne bénéficierais pas de la couverture par l'assurance ayant par ailleurs un maintien de salaire par ma prévoyance....
Bref je cogite et j'angoisse un peu du risque que je prends à être honnête...
- quel peut être l'impact de déclarer cet arrêt de travail?
- y a t il un risque de me voir refuser l'assurance, et donc le prêt, du fait de cet arrêt?
- dans l'hypothèse où je ferais abstraction de ma conscience, et que je ne le déclarerai pas, quel est le risque encouru (hors le refus de me couvrir pour un hypothétique prochain arrêt de travail puisque de toutes façons l'assurance ne me couvrirait pas du fait de mon maintien de salaire...)?
Vous remerciant très chaleureusement par avance!