Ader capital

Bonjour,

Pour répondre à votre question, vous auriez avantage à lire tous les messages de ce post.

Que la société soit basée en Espagne ne modifie en rien le concept des "sociétés sœurs" qui sont intervenues en France.
Vous pouvez faire des recherches à partir de Google sur le nom du PDG. - le nom de la société sans préciser "SL" et sur la société Crédit Consulting. C'est assez édifiant.

Dans les liens qui vous seront communiqués, je vous encourage à lire le Forum organisé par une Association de Défense de Consommateurs.
Les sites Société.com et Bodacc pourront vous fournir des renseignements utiles avant toute prise de décision.

Une société espagnole est soumise au droit espagnol, ce qui vaut aussi pour ses clients. En cas de problème cela ne facilite pas la tache et multiplie les honoraires des avocats, sauf si vous maitrisez parfaitement la langue espagnole et accessoirement le droit de ce pays.

Bon courage.
 
COMMUNIQUE DE PRESSE​

Malgré le fait qu’elle dispose de plus de 2,2 M d’euros de liquidités au crédit de ses différents comptes, la société CREDIT CONSULTING se trouve ce jour plongée dans une situation ubuesque dont la seule cause est la clôture brutale et sans préavis de ses comptes bancaires par des établissements financiers. En bloquant nos comptes, les banques empêchent notre société d’opérer normalement sur le marché. Pire encore, en s’octroyant le droit, sans pour autant nous apporter la moindre explication ni justificatif juridique, de conserver les fonds appartenant à notre société, elles nous empêchent d’honorer nos engagements financiers. Ainsi, depuis la fin du mois de juillet 2018, la société CREDIT CONSULTING bataille pour tenter d’obtenir, d’une première part, la libération des fonds indûment bloqués par divers établissements bancaires et, d’autre part, pour ouvrir un compte avec lequel elle puisse opérer normalement sur le marché français. Alors que notre société réalise son activité dans plusieurs autres pays européens sans rencontrer aucune difficulté, il semblerait qu’en France le lobby bancaire se soit lié contre elle avec la seule finalité de la pousser vers procédure collective pour la faire disparaitre. L’énergie des dernières semaines ayant été consacrée à la recherche de solutions permettant la survie de notre société, malgré la privation de tous nos fonds et tous nos moyens de paiements, nous nous devons d’apporter à nos clients et à tous nos partenaires qui nous ont fait confiance, un bref résumé de la chronologie et de l’état actuel des lieux : Le 24 juillet 2018, une première banque a bloqué, sans préavis, notre compte sur lequel plus 1,7M d’euros étaient portés au crédit. Sans apporter aucune explication aux demandes légitimes émises par notre société, la somme susvisée a, par la suite, disparue de notre compte. Ce n’est qu’au terme de mises en demeure et d’un combat judiciaire particulièrement acharné et éprouvant, que nous avons pu récupérer, en partie seulement les fonds arbitrairement séquestrés par la banque. En même temps, après avoir sollicité l’aide de la Banque de France, dans le cadre de la procédure spécifique du « droit au compte », celle-ci a, après quelques hésitations, désigné un nouvel établissement bancaire auprès duquel la somme d’environ 640 K euros a été déposée pour faire face aux paiements urgents (salaires, charges sociales et fiscales, fournisseurs et remboursement des échéances des prêts rachetés de nos clients). Bien que ce second établissement ait pris le soin d’encaisser les fonds il a, dès le lendemain, de façon abusive, clôturé le nouveau compte et conservé les fonds qui sont encore indisponibles pour notre société. Nous avons donc ouvert un troisième compte, mais celui-ci a été aussi clôturé avec plus de 130 K euros, en suivant le même modus operandi, une semaine après son ouverture et sans que nous ayons eu le temps de disposer des moyens techniques nécessaires pour payer nos dettes. A ce jour, nous disposons d’un chèque de banque de près de 1,7M d’euros et bien que les dettes échues soient bien inférieures, nous sommes placés dans une situation qui semble inextricable car toutes les banques contactées par notre direction refusent, sans raison valable, de nous ouvrir un compte bancaire. S’ajoute à cette situation des articles diffamants qui ont été pour certains publiés auprès d’un large public avec la seule volonté de nuire au développement commercial de notre société. Face à cette situation nous avons à nouveau fait appel à la Banque de France qui ne nous a toujours pas désigné un nouvel établissement. Notre société dispose d’une importante trésorerie et de liquidités conséquentes mais elle se trouve, du fait des manœuvres entreprises par les banques concernées, salie dans sa réputation commerciale et impossibilité de procéder au moindre paiement, faute de disposer des moyens techniques pour les réaliser. Bien que son activité, certes récente, soit parfaitement légale et encadrée, et ayant eu la confirmation qu’aucune plainte pénale lors de l’audience du tribunal de commerce du 19 septembre, ni aucun signalement auprès de Tracfin ait été déposé à son encontre, notre société se trouve au bord de la mort civile, qui aura été décrétée par les banques l’ayant privé de tout moyen pour payer ses employés et rembourser ses dettes alors même que les fonds en sa possession sont largement suffisants pour tenir l’ensemble de ses engagements. L’équipe dirigeante tient à vous confirmer que face aux attaques et à l’acharnement dont font preuve les banques à son égard, elle reste plus que jamais déterminée pour défendre ses intérêts qui sont aussi les intérêts de ses clients. Nous affirmons aussi notre entière confiance en l’Etat de droit qui saura, nous le croyons, sauver de la faillite notre société dont l’activité doit bien faire peur aux banques afin qu’elles se liguent avec autant de force contre nous !
 
COMMUNIQUE DE PRESSE​

Malgré le fait qu’elle dispose de plus de 2,2 M d’euros de liquidités au crédit de ses différents comptes, la société CREDIT CONSULTING se trouve ce jour plongée dans une situation ubuesque dont la seule cause est la clôture brutale et sans préavis de ses comptes bancaires par des établissements financiers. En bloquant nos comptes, les banques empêchent notre société d’opérer normalement sur le marché. Pire encore, en s’octroyant le droit, sans pour autant nous apporter la moindre explication ni justificatif juridique, de conserver les fonds appartenant à notre société, elles nous empêchent d’honorer nos engagements financiers. Ainsi, depuis la fin du mois de juillet 2018, la société CREDIT CONSULTING bataille pour tenter d’obtenir, d’une première part, la libération des fonds indûment bloqués par divers établissements bancaires et, d’autre part, pour ouvrir un compte avec lequel elle puisse opérer normalement sur le marché français. Alors que notre société réalise son activité dans plusieurs autres pays européens sans rencontrer aucune difficulté, il semblerait qu’en France le lobby bancaire se soit lié contre elle avec la seule finalité de la pousser vers procédure collective pour la faire disparaitre. L’énergie des dernières semaines ayant été consacrée à la recherche de solutions permettant la survie de notre société, malgré la privation de tous nos fonds et tous nos moyens de paiements, nous nous devons d’apporter à nos clients et à tous nos partenaires qui nous ont fait confiance, un bref résumé de la chronologie et de l’état actuel des lieux : Le 24 juillet 2018, une première banque a bloqué, sans préavis, notre compte sur lequel plus 1,7M d’euros étaient portés au crédit. Sans apporter aucune explication aux demandes légitimes émises par notre société, la somme susvisée a, par la suite, disparue de notre compte. Ce n’est qu’au terme de mises en demeure et d’un combat judiciaire particulièrement acharné et éprouvant, que nous avons pu récupérer, en partie seulement les fonds arbitrairement séquestrés par la banque. En même temps, après avoir sollicité l’aide de la Banque de France, dans le cadre de la procédure spécifique du « droit au compte », celle-ci a, après quelques hésitations, désigné un nouvel établissement bancaire auprès duquel la somme d’environ 640 K euros a été déposée pour faire face aux paiements urgents (salaires, charges sociales et fiscales, fournisseurs et remboursement des échéances des prêts rachetés de nos clients). Bien que ce second établissement ait pris le soin d’encaisser les fonds il a, dès le lendemain, de façon abusive, clôturé le nouveau compte et conservé les fonds qui sont encore indisponibles pour notre société. Nous avons donc ouvert un troisième compte, mais celui-ci a été aussi clôturé avec plus de 130 K euros, en suivant le même modus operandi, une semaine après son ouverture et sans que nous ayons eu le temps de disposer des moyens techniques nécessaires pour payer nos dettes. A ce jour, nous disposons d’un chèque de banque de près de 1,7M d’euros et bien que les dettes échues soient bien inférieures, nous sommes placés dans une situation qui semble inextricable car toutes les banques contactées par notre direction refusent, sans raison valable, de nous ouvrir un compte bancaire. S’ajoute à cette situation des articles diffamants qui ont été pour certains publiés auprès d’un large public avec la seule volonté de nuire au développement commercial de notre société. Face à cette situation nous avons à nouveau fait appel à la Banque de France qui ne nous a toujours pas désigné un nouvel établissement. Notre société dispose d’une importante trésorerie et de liquidités conséquentes mais elle se trouve, du fait des manœuvres entreprises par les banques concernées, salie dans sa réputation commerciale et impossibilité de procéder au moindre paiement, faute de disposer des moyens techniques pour les réaliser. Bien que son activité, certes récente, soit parfaitement légale et encadrée, et ayant eu la confirmation qu’aucune plainte pénale lors de l’audience du tribunal de commerce du 19 septembre, ni aucun signalement auprès de Tracfin ait été déposé à son encontre, notre société se trouve au bord de la mort civile, qui aura été décrétée par les banques l’ayant privé de tout moyen pour payer ses employés et rembourser ses dettes alors même que les fonds en sa possession sont largement suffisants pour tenir l’ensemble de ses engagements. L’équipe dirigeante tient à vous confirmer que face aux attaques et à l’acharnement dont font preuve les banques à son égard, elle reste plus que jamais déterminée pour défendre ses intérêts qui sont aussi les intérêts de ses clients. Nous affirmons aussi notre entière confiance en l’Etat de droit qui saura, nous le croyons, sauver de la faillite notre société dont l’activité doit bien faire peur aux banques afin qu’elles se liguent avec autant de force contre nous !
Bonjour,
La question que je me pose est la suivante:
Vous annoncez 1,7M€ mais est ce du chiffre d’affaire ou de l’argent destiné aux placements?
Car sur une session il y a la somme à placer et les frais de dossier qui sont le chiffre d’affaire.
Et vous nous dites que la structure Ader Capital ne vie qu’avec les frais de dossier.
Merci de votre réponse Ader Capital
 
Je me pose les mêmes questions que Cc85... et attend aussi les réponses ! Vous dites aussi que 340 K ont été bloqués, ainsi que 130 K... ces deux sommes sont-elles comprises dans le 1.7 M ? Tout ceci est bien confus...
 
une question me pose problème.
les comptes sont ceux de Crédit Consulting alias ADER France
or vous nous indiquez que les fonds servent aussi à régler les "je cite"
la somme d’environ 640 K euros a été déposée pour faire face aux paiements urgents (salaires, charges sociales et fiscales, fournisseurs et remboursement des échéances des prêts rachetés de nos clients).
or il me semble que les contrats de cession de dettes aient été réalisés entre les clients et la Sté ADER CAPITAL LTD domiciliée à Londres
de ce fait comment la structure CREDIT CONSULTING peut elle régler elle même les mensualités des clients dans un contrat ou elle n'intervient qu'en tant que "intermédiaire commercial" en percevant des honoraires ou frais de dossier pour son fonctionnement.
De plus vous parlez de "prêts rachetés de vos clients" mais en fait les prêts ne sont pas rachetés, vous en payez juste les mensualités au clients chaque mois.
ce qui fait qu'actuellement ce sont les seuls clients qui restent face aux organismes prêteurs et souvent avec plusieurs prêts conso souscrits simultanément par votre intermédiaire pour réaliser cette opération de cession de dette.
Alors certes, les premiers clients ont vu leurs prêts intégralement remboursés par la société mais rapidement vous êtes passé au paiement mensuel laissant toujours vos clients sous une "épée de Damoclès" en cas de défaillance de votre part.
c'est pour cela que bon nombre d'entre eux se retournent maintenant pour faire jouer leur clause de remboursement de leur prix de cession.
cela les aidera au moins à rembourser une partie des prêts conso en place.


c'est là qu'il faut que ADER CAPITAL LTD intervienne puisque c'est elle qui dispose des fonds des clients.

Il est urgent pour la réputation de la société et de ses dirigeant que des mesures efficaces soient prises.
vous avez le fichier client, il suffit de mettre en place des virements de la société de Londres vers les clients pour rattraper les retards dans les remboursements.


et dernière question: sur les 2.2 millions indiqués, quelle montant représente les "prix de cession" et quel montant représente les honoraires de Crédit Consulting.

Il est urgent d'éclairer les clients sur l'avenir de leur opération car il en va du budget familial de plusieurs centaines de foyers en France.

Merci d'avance à ADER France pour la transparence et franchise de ses réponses.

bien cordialement
 
C'est compliqué cette affaire ont doit continué à payés une dette qui c'est finalement accumulé sur la longueur sans aucun retour sur investissement ont est pris pour des pigeons 😠😠😠
J'espère que nôtres investissement seras remboursée car c'est une tragédie financière pour beaucoup de clients 😡😡😡😡
 
C'est compliqué cette affaire ont doit continué à payés une dette qui c'est finalement accumulé sur la longueur sans aucun retour sur investissement ont est pris pour des pigeons 😠😠😠
J'espère que nôtres investissement seras remboursée car c'est une tragédie financière pour beaucoup de clients 😡😡😡😡


on ne peut que l'espérer mais il faut comprendre que les dirigeants jouent dans le flou artistique
vous avez
CREDIT CONSULTING à Nantes qui se fait appeler ADER CAPITAL (nom commercial)
ADER CAPITAL LIMITED à Londres
ADER CAPITAL à l'île Maurice

En fait, ces 3 sociétés sont complètement indépendantes car il n'y a pas de "groupe" ADER CAPITAL
il n'y a pas non plus de holding financière qui regrouperait les échanges financiers de ces sociétés.

donc CREDIT CONSULTING est le distributeur (un peu comme un concessionnaire automobile) des produits de ADER CAPITAL LONDRES (qui est en fait la société avec laquelle vous avez tous signé les contrats, en gros le constructeur) et qui s'est donc engagée à payer vos prêts .......
ADER CAPITAL à l'Ile Maurice et bien on ne sait pas son rôle

les dirigeants indiquent que c'est ADER LONDRE et ADER Mauritius qui gèrent les placements.

donc comme l'argent n'est pas sur les comptes en France ils sont soit à Londres soit à l'île maurice soit en espagne ou a été créé PAY FOR YOU ADER CAPITAL à VALENCIA (même gérant) et on parle aussi du Portugal...

Donc si litige sur un contrat c'est avec le contractant que doit se régler le problème
donc ADER CAPITAL LTD qui relève du droit britannique comme indiqué sur les contrats.
Comme à priori ce sont eux le destinataire de vos versements c'est cette société qui devrait vous régler.

bien cordialement
 
Donc, si les fameux 1.7 M baladeurs étaient à ADLER Londres, rien n'empêche celui-ci d'envoyer un chèque à nos amis français ; par contre, s'ils ont filé à l'île Maurice, où Anakin nous avait dit plus haut que deux dirigeants avaient acheté des propriétés... on le sent vraiment mal, là !!!
 
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