M
Membre39498
Je reviens sur cette utopie défendue par Marioux consistant à s’intéresser au seul taux quotidien ; je pense comme lui que ce n’est pas vraiment une utopie ; avec les tableurs et leurs outils puissants, il est possible de se passer de la formule « lombarde » des 5° et 6° exemples de l’annexe au décret du 11 juin 2002, et avec la « recherche de valeur-cible », de calculer une mensualité constante à partir d’un historique intégrant capital, taux quotidien, et les dates prévisionnelles de déblocage des fonds et du paiement des mensualités. Pour reprendre l’exemple donné par Aristide du prêt de 200000 € sur 300 mois à 0,01 % par mois (3,65 % l’an), si on prend un déblocage des fonds le 5 mars 2018, et des paiements le 5 de chaque mois suivant, la recherche de valeur-cible dénonce une mensualité constante de 1017,525 €, qui intègre strictement l’année civile et ses variations quadriennales. A mon avis il n’y a donc rien d’aberrant à s’attacher au couple taux quotidien et année civile (365 ou 366) qui permet parfaitement de calculer une mensualité constante.Bonjour,
Chose désormais faite ici :
Je vous suggère de prendre connaissance............les résultats sont ÉPOUSTOUFLANTS...!!!...???
Cdt
Au cas particulier du déblocage au 5 mars, l’emprunteur aurait intérêt à ce que son banquier en reste à la méthode lombarde, qui aboutirait à une mensualité de 1017,409 (avec une mensualité de 1017,525, le calcul lombard de la fonction TRI indiquerait un taux de 3,65108 %). Mais si le déblocage intervient le 5 février 2018, la mensualité constante ne serait plus 1017,409 mais 1017, 279 et l’année civile tournerait cette fois à l’avantage de l’emprunteur. Mais on est bien d’accord que la réglementation n’est pas en ce sens (sauf pour les revolvings).
Je m’aperçois que mon message aurait plus sa place dans la file : Taux journalier : Hypothèse réaliste et utile ou bien utopie inutile ? Telle est la question!.