à l'honneur sur France 2;

Certes, mais vous oubliez également que le montant de le rente du PERP augmente car le taux technique est de 0. Donc au final, les impôts augmentent de même que la rente.
Pas de problème pour faire augmenter la rente du taux qu'il vous plaira ; de toute façon on pourra faire évoluer les rachats d'AV pour qu'ils correspondent au montant net fiscal perçu ; mais j'avais davantage envisagé de mener l'exercice sur des rachats partiels annuels (avec la fiscalité qui va avec), maintenant qu'il sont dans l'air du temps ….

Et je vous ferais remarquer que pendant la phase d'épargne, sur une période de 12 à 18 ans pour reprendre votre exemple, les impôts augmentent aussi, faisant du coup augmenter la part de défiscalisation...
Lorsque je parlais d''une période de 12 à 18 ans, ce n'était pas pour une période d'épargne, mais pour une période de perception des prestations sous forme de pension ou de rachats partiels, donc après la période d'épargne

Sinon, en l'absence d'abattement et de purge de PS, l'écart se creuse encore plus si on tient compte des impôts qu'on a payé en phase d'épargne et lors des rachats de l'AV.
Certes, mais les abattements (qui n'ont d'ailleurs pas bougé depuis longtemps aussi) ils existent dans le cadre de l'AV et autant les utiliser, et on peut aussi considérer ne pas procéder aux purges des PS (ce qui n'était d'ailleurs pas possible avec le PERP, et ne l'est pas davantage avec le PER).

Je vais m'y tenter de m'y employer, mais je me souviens que pour le développement de la version 2004/2005, cela avait pris quelque temps, pour l'analyser de façon fine ; et à l'époque j'échangeais sur le sujet avec Dalli (pas le peintre !!), et elle avait renoncé à examiner mon tableau contenant plus de 130 colonnes ….

Et de mémoire, on avait fait évoluer les rémunérations et donc les primes versées, dont dépendaient les abattements en fonction de l'évolution du PASS (plafond annuel de la sécu)

Il ne vous reste qu'à le prouver...;)
Que je le prouve ou non, ne présente pas trop d'importance (du moins pour moi), surtout parce cela ne présente plus aucune importance pour ce qui me concerne, puisque n'ayant pas été éligible.

Bon, il va aussi falloir que je remette la main sur la version de 2004 (pour me rafraichir la mémoire) , mais comme les choses ont évolué (mais sans changer sur le principe), je pense que je vais me reconcocter une nouvelle version (qui aboutisse à analyser le différentiel de fiscalité) puisque c'est principalement cela qui vous intéresse ...

Mais l'une des difficultés, c'est qu'il faudrait aussi intégrer les éléments qui aboutissent au calcul d'un TMI réaliste en situation de retraité ; il faudrait donc convenir sur la base d'une rémunération moyenne donnée, de convenir de ce que sera le taux de remplacement applicable à cette rémunération moyenne en période d'activité ; et là, il faudrait donner une fourchette pour déterminer la base de la pension annuelle …..

Je compte aussi y intégrer la mixité de TMI, pour le calcul de l'impact de la déduction accordée ….
 
Dernière modification:
Que je le prouve ou non, ne présente pas trop d'importance (du moins pour moi), surtout parce cela ne présente plus aucune importance pour ce qui me concerne, puisque n'ayant pas été éligible au PERP, et pour le PER, c'est encore pire ….

Je compte aussi y intégrer la mixité de TMI, pour le calcul de l'impact de la déduction accordée ….
Un petit article sur les 3 conditions faborables à une bonne performance de ce type de produit ...

http://leparticulier.lefigaro.fr/upload/docs/application/pdf/2015-04/17642.pdf
 
pour la règle numéro 3 c'est prévu sauf imprévu....

Oui ça fait bcp de conditions et de pari / parti pris sur l'avenir je trouve.

Cela dit les hypothèses de rendement de l'épargne sont médiocres: on doit pouvoir espérer 5% de rendement annualisé sur un horizon pareil.
Mais ça ne change rien aux conclusions de comparaison, qui sont assez surprenante, merci Paal, de cette belle info.
 
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