à la rcherche du livret à 0%, le livret sans rendement sinon sans handicap...

et surtout un livret a le droit de dormir (aucun mouvement ne donne pas lieu à une pénalisation)

Un CC aussi peut avoir le droit de "dormir" sans pénalité.

Il vous suffit simplement d'ouvrir une AV avec cent euros pour qu'un compte bancaire (ou compte de dépôt) sans moyen de paiement et sans aucun frais soit automatiquement ouvert avec.
 
non , j'ai déjà dit plus haut qu'il reste le "risque" de fraude ou de me réveiller avec un paiement étrange fait à l'étranger ou autre.
on n'est jamais à l'abris d'une mise à jour automatique nocturne sur un téléphone où l'application qui s'est mise à jour va pomper l'application de banque déjà installer...

Dans ce cas, il suffit de ne pas installer l'application de la banque.
;)
 
Bonjour,

je n'ai pas tout compris :confused:

La fermeture de tous ces livrets non fiscalisés (LEP, LDD, livret A..) a pour objectif de rester éligible à l'APL, okay.
Mais quels problèmes posent ces livrets non fiscalisés pour l'objectif voulu : l'APL ?
- c'est le montant total de l'épargne que cela représente ?
- c'est le revenu qu'il génère ? Mais comme ce revenu est non fiscalisé, il n'apparait pas dans la déclaration de revenus et dans le Revenu Fiscal de Référence (RFR).

Les livrets de partage, c'est très bien (y), (voir la page cbanque sur le sujet)
mais pour le problème évoqué ici, le livret de partage :
- ne génère pas d'intérêts qui arrivent sur le livret lui-même, si le taux de partage des intérêts est de 100%,
- l'intérêt mis en don génère une réduction d'impôts sur ce don (66% ou 75% suivant l'organisme), mais pour cela il faut être imposable, est-ce le cas ?
- mais le RFR est augmenté, est-ce l'effet voulu ?

Il manque des éléments pour comprendre.
 
Bonjour,

je n'ai pas tout compris :confused:

La fermeture de tous ces livrets non fiscalisés (LEP, LDD, livret A..) a pour objectif de rester éligible à l'APL, okay.
Mais quels problèmes posent ces livrets non fiscalisés pour l'objectif voulu : l'APL ?
- c'est le montant total de l'épargne que cela représente ?
- c'est le revenu qu'il génère ? Mais comme ce revenu est non fiscalisé, il n'apparait pas dans la déclaration de revenus et dans le Revenu Fiscal de Référence (RFR).

Les livrets de partage, c'est très bien (y), (voir la page cbanque sur le sujet)
mais pour le problème évoqué ici, le livret de partage :
- ne génère pas d'intérêts qui arrivent sur le livret lui-même, si le taux de partage des intérêts est de 100%,
- l'intérêt mis en don génère une réduction d'impôts sur ce don (66% ou 75% suivant l'organisme), mais pour cela il faut être imposable, est-ce le cas ?
- mais le RFR est augmenté, est-ce l'effet voulu ?

Il manque des éléments pour comprendre.

c'est tellement simple que personne de censé (qui cherche le rendement n'arrive à comprendre). voilà, moi je ne cherche pas le rendement et pas non plus la perte.
Depuis octobre 2016, les CAF baissent l'APL (et l'annulent même) suivant le montant sur les livrets bien cités plus haut même si ces dernier ne génére pas d'intérêt. les caf ne veulent pas connaître les intérêts, ils veulent juste savoir combien tu as dessus pour voir par rapport au plafonds.
Et comme le peu d'intérêt que j'avais était inférieur à ce que j'aurai pu avoir en APL, je suis contraint de fermer mes livrets historiques et de mettre mes économies ailleurs (donc soit sur un CC, soit sur un livret non fiscalisé). L'assurance vie est exclus car la CAF la demande aussi.

- Dans ma main gauche ,si je laisse mes économies dans les livrets historiques, je gagne 200€ d'intérêts annuels et perd 12x100 car la caf ne veut pas me donner l'APL.
- Dans ma main droite, si je range mes économies dans un livret peu rentable solidaire non-fiscalisé ou un CC (car la CAF s'en fiche de ces livrets-là) , je récupère mon APL (soit 12x100).

Avec mes économies, au total, je n'ai aucun moyen de générer 12x100€, donc le calcul est vite fait : solution main droite.
En plus, autant donner que l'association qui me suit (au chômage) récupère les fruits de mes livrets, ça ne gène pas.
Certes c'est vrai, ce livret me donnera un crédit d'impôt qui sera inutile car je ne paie pas d'impots. et alors, si ça me permet de ravoir l'APL, ça me va comme ça.
Quand je fais un don à la SPA, je sais aussi que la réduction d'impôt me sert à rien et pourtant ça ne gène personne. Alors autant faire pareil pour les intérêts de mon livret.

ps : Etrangement je n'ai trouvé aucun livret solidaire qui reverse une partie des intérêts à la SPA, bizarre.
 
vous connaissez une banque qui accèpte d'ouvrir gratuitement un CC, avec de l'argent qui y dormira, sans frais de tenue de compte, ni banque, ni autre produit ouvert ?

Cela vous "coûterait" tant que ça d'ouvrir une AV dans une banque en ligne avec seulement 100 € pour accéder à un CC gérable en ligne sans frais ?
 
c'est tellement simple que personne de censé (qui cherche le rendement n'arrive à comprendre). voilà, moi je ne cherche pas le rendement et pas non plus la perte.
Un détail ;) une personne sensée = une personne qui recherche le rendement.
Je ne suis pas d'accord. Pour moi, une personne sensée, donne du sens à son argent. Mettre son argent sur Alphabet (google) ou Total, ce n'est pas la même chose que d'acheter des parts sociales à Solidarités Nouvelles pour le Logement par exemple. Mais ce n'est pas l'objet du fil de discussion :musical_note:.
(...) les CAF baissent l'APL (et l'annulent même) suivant le montant sur les livrets bien cités plus haut (NDLR : Livret A, LDD, LEP) (...) je suis contraint de fermer mes livrets historiques et de mettre mes économies ailleurs (donc soit sur un CC, soit sur un livret non fiscalisé). L'assurance vie est exclus car la CAF la demande aussi.
Là, il y a une contradiction à rectifier (pour bien comprendre), car :
- les livrets (Livret A, LDD, LEP) sont non-fiscalisés,
- les livrets de partage (lien cbanque) sont fiscalisés, tout comme les super-livrets mentionnés dans le forum. (Certes le mécanisme de fiscalisation n'est pas le même pour les deux).

Donc pour bien échanger entre nous, il nous faut bien comprendre le périmètre de prise en compte de la CAF.

ps : Etrangement je n'ai trouvé aucun livret solidaire qui reverse une partie des intérêts à la SPA, bizarre.
J'ai regardé vite fait, et effectivement, je n'ai pas vu cette association (mais je n'ai pas fait un tour complet).
 
Là, il y a une contradiction à rectifier (pour bien comprendre), car :
- les livrets (Livret A, LDD, LEP) sont non-fiscalisés,
- les livrets de partage (lien cbanque) sont fiscalisés, tout comme les super-livrets mentionnés dans le forum. (Certes le mécanisme de fiscalisation n'est pas le même pour les deux).
En savoir plus sur https://www.moneyvox.fr/forums/fil/...ns-rendement-sinon-sans-handicap.31443/page-2

kjux, il faut que vous voyez le nouveau formulaire de demande d'aide au logement, il fait la "chasse" aux livrets A, aux livrets LDD, aux livrets PEL, aux livrets LEP, livret jeune, compte epargne logement, plan épargne entreprise,, pea, assurance vie.
Là je viens de citer texto la ligne du formulaire cerfa 10846 qui indique quels livrets doivent être déclarés. (et donc le CC et les autres livrets solidaires ne sont pas dedans...)

comme je l'ai dit plus haut, peu importe qu'il soit fiscalisé ou pas, ce qui importe est de ne pas être dans la liste de ceux cités à l'instant.
on ne nous demande pas de reporter les intérêts (ça c'est le cas du rsa je crois et de la feuille d'impôts), ici on nous demande de reporter le montant des sommes des livrets.

ps : ici (sur un forum de banque ou à axé financier), une personne sensée aurait pour but d'augmenter le profit or moi, je procède à l'inverse : celui de vouloir préserver ce que j'ai et n'avoir aucun rendement ni perte. Mais je suis d'accord avec toi, sur le "sens" à donner à son argent, un très bon point que tu as remarqué. http://www.ladictee.fr/orthographe/astuce/astuce_Cense_et_sense.htm
 
Les conditions générales d'attribution de l'aide au logement sont instituées par les articles R.351-2 et suivants du code de la construction et de l'habitat.

L'article R351-5-1 issu du Décret n°2016-1385 du 12 octobre 2016 prévoit que lorsque le patrimoine de l'allocataire (en dehors de la résidence principale) excède 30 000 euros, il est tenu compte de la valeur figurant sur les derniers relevés bancaires reçus par l'allocataire.

Le texte ne limite donc pas l'appréciation des revenus aux sommes présentes sur les comptes de placements mais inclue également le solde des comptes courants peut importe que celles-ci produisent des intérêts ou non.

Dans tous les cas, il n'est tenu compte que de 3% de ces sommes pour la détermination du droit comme pour la couverture maladie universelle complémentaire ou l'allocation spéciale invalidité/vieillesse.
 
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