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Banque des Antilles Françaises : histoire et absorption par la CEPAC
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Banque des Antilles françaises

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La Banque des Antilles Françaises (BDAF) se présentait comme une « banque généraliste de proximité » qui était impliquée dans la vie économique, sociale et culturelle antillo-guyanaise.

La BDAF a intégré le réseau de la Caisse d'Epargne Provence Alpes Corse (CEPAC) le 14 novembre 2016. Cette unification a conduit à l'absorption des activités (produits bancaires, agences et site internet) et à la disparition de la « Banque des Antilles françaises » comme enseigne au profit de la CEPAC. Cette page, qui n'est plus mise à jour, est une présentation de la banque avant cette date.

Avec la loi du 11 juillet 1851 sur l'organisation des banques coloniales, les banques de la Guadeloupe et de la Martinique ont vu le jour. Ce n'est seulement qu'en 1967 qu'elles fusionnent pour former la Banque des Antilles Françaises. Après avoir été une filiale outre-mer du groupe BPCE (Banque Populaire et Caisse d'Epargne), la Banque des Antilles Françaises est, depuis septembre 2015, filiale à 100 % de la Caisse d'Epargne Provence Alpes Corse (CEPAC).

En 2015, la banque comptait plus de 70 000 clients et détenait 22 agences et 3 centres d'affaires entreprises répartis entre trois départements et deux territoires d'outre-mer : la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, Saint-Martin et Saint-Barthélemy. L'encours d'épargne, en 2014, atteignait 1 milliard d'euros. La Banque des Antilles Françaises proposait une gamme complète de services bancaires, de crédits immobiliers, de prêts personnels et des produits d'assurance.

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